Parce que l'aéroport «Houari Boumediene» a toujours relevé de la com pétence de la cour d'Alger, le tribunal du coin aura donc cette semaine, les faveurs de cette colonne, créée pour mettre sous les phares publics, de la juridiction, les petits bonheurs quotidiens des résidents de toute ladite daïra et jeune tribunal, de Dar El Beïda. A commencer par l'efficace duo de chefs du tribunal, qui s'ahane tous les jours qu'Allah crée, à servir le justiciable, donc, le citoyen de Bâb Ezzouar, Dar El Beïda, Bordj El Kifa ne, «Sorécal». Le guichet unique fonctionne à l'allure de la juridiction «mère», en l'occurrence, El Harrach. En effet, les pionniers étaient descendus d'EL Harrach. Plusieurs d'entre eux résidents dans le périmètre du nouveau tribunal de Dar El Beida.Ils n'étaient pas des novices, mais de rudes et de coriaces greffiers et greffières. Mais voilà qu'avec l'arrivée du jeune duo de chefs de la cour d'Alger, Dounia ed Guellati et Lotfi Boudjemâ, un petit mouvement de présidents et procureurs de laRépublique, eut lieu dans une ambiance du tonnerre. C'est ainsi que le rigoureux blondinet Liés Benmicia, qui menait fort bien jusque-là, les destinées du tribunal de Bâb El Oued, était appelé à la tête de Dar El Beida, où se trouvait déjà, un autre cheval de trait, Réda Fékir, au poste de procureur de la République. D'ailleurs, ce dernier ne restera pas longtemps, et rejoindra gaiement le tribunal de Bir Mourad Raïs, à la place du jeune Fayçal Negaz parti à Chleff, renforcer le parquet général. Au ministère public de Dar El Beida, arrivera le jeune et ambitieux Rostoum Mansouri, qui, après avoir quitté le tribunal de Sidi -M'Hamed-Alger, qui était le parfait adjoint de Douniazed Guellati, alors brillante présidente du tribunal, ramènera avec lui ses bagages, dont les langues étrangères. Il faut vite préciser que l'entourage immédiat des chefs du tribunal est venu ajouter la bonne ambiance qui a toujours régné. Les adjoints, des jeunes et ambitieux magistrats, tels les Farouk, Roumaïssa Benarfa, et Amine Sahel, le jeune frangin du respectable et dynamique magistrat à la Cour suprême, Hadj Hamid Sahel. En effet, les adjoints de Roustam Mansouri, le procureur de la République, apportent aussi le plus, nécessaire à la bonne marche de la juridiction soignée, de la chancellerie. Le service d'ordre est lui aussi impeccable de vigilance, et de courtoisie. Agents de l'administration pénitentiaire, et de la B mpj, font montre d'une efficacité à toute épreuve même si certains agents de police de la «vieille» école, des flics de l'époque, qui n'ont pas encore compris qu'ils relevaient du parquet local, et que le prochain procès de la fameuse affaire de «Tiguentourine» était un procès spécial quant la sécurité de tous.