Affectée depuis la dernière rentrée scolaire comme proviseure au lycée de Souidania (Alger-Ouest), alors qu'elle exerçait auparavant à Khenchela, H. H. menace de recourir à une grève de la faim si l'on ne daigne pas lui verser son salaire qu'elle attend depuis 5 mois. Dans un courrier qu'elle a transmis à notre rédaction, elle fait état de toutes les démarches qu'elle a effectuées en vue de recouvrer son droit, allant du chef de service paie de l'établissement concerné jusqu'au ministère de l'Education nationale où les responsables se sont dit “étonnés”. Un étonnement compréhensible quand on sait que d'autres proviseurs, affectés à de nouveaux établissements comme la concernée, ont vu leur salaire versé dès novembre.