J'ai été victime d'abus de confiance, d'escroquerie et de chantage par le dénommé Kacem Mohamed. Avant de déposer plainte au niveau de la justice, j'ai recouru à un arrangement à l'amiable devant un comité de sages où nous avions réglé notre problème le 1er avril 2006. Tout a commencé quand je devais remettre à cette personne 148 millions de centimes en échange qu'il me restitue mes chèques au nombre de 11, ainsi que le cachet de l'entreprise. Le 3 avril 2006, j'ai honoré mon engagement en lui versant à sa demande au compte de Benama Khaled Abed qui devait me remettre mes chèques et mon cachet. Après avoir pris les 148 millions, M. Benama m'a répondu que Kacem Mohamed n'a pas voulu les lui remettre. Le 5 avril 2006, Kacem s'est présenté à mon domicile avec des menaces de mort avec son complice Benama Khaled Abed. C'est là que j'ai réalisé que j'étais victime d'escroquerie de la part de ces deux personnes. J'ai déposé plainte le jour même à la sûreté de la wilaya. Le 18 juin 2006, Kacem, avec la complicité de son neveu par alliance Bendahmane Yousef, a retiré de mon compte 38 millions de centimes parce qu'il avait toujours mes chèques en sa possession. Le 30 septembre, il a encore retiré 48 millions de centimes. Après quelques jours de ce dernier retrait, j'ai reçu une citation du tribunal de Relizane à l'audience. C'est là que j'ai constaté que Kacem a déposé plainte pour chèque sans provision de 270 millions de centimes. Alors, j'ai déposé une demande d'instruction auprès du tribunal pour éclaircissement de l'affaire. Après son engagement devant des témoins à me restituer mes chèques et le cachet, chose que Kacem n'a pas respectée, et après plusieurs audiences où toutes les parties étaient entendues par le juge et où toutes les déclarations sur PV du juge d'instruction, cela a démontré que Kacem ne faisait que mentir. Dans la première instruction, il a déclaré qu'il détenait 2 chèques, lors de la deuxième, il déclare qu'il détient 4 chèques. À ce moment-là, j'ai remis une pièce bancaire qui prouvait qu'il détient un chèque avec attestation de non-paiement d'un montant de 120 millions de centimes où j'ai prouvé qu'il a reçu le montant de 148 millions de centimes par l'intermédiaire de son complice Benama Khaled Abed. Le tribunal le condamne à 6 mois de prison avec sursis et à la restitution de tous mes droits. Kacem fait cassation auprès de la cour de Relizane. Après plusieurs audience, j'ai pu prouver que Kacem était un escroc et qu'il voulait m'humilier et me ruiner. Au moment où je m'attendais à un verdict juste, la cour l'a innocenté le 15 décembre 2007. Il était représenté par un avocat qui n'avait pas le droit de plaider en tant qu'élu de la nation où la Constitution lui interdisait le cumul de fonction (article N° 105 de la Constitution). Malgré toutes les preuves qui existent dans le dossier et alors que je m'attendais à être rétabli dans mes droits et que Kacem devait payer pour ses actes, la cour l'innocente. Chose qui m'oblige à faire cassation auprès de la Cour suprême le 17/12/2007. Après avoir eu son innocence, Kacem a redéposé le chèque de 270 millions auprès du tribunal de Relizane. Je vous informe que Kacem a donné de fausses informations me concernant pour que je ne puisse pas être informé et je serai condamné par défaut, c'était son objectif. Et par chance, j'étais informé par des gens que la première audience aura lieu le 26/02/2008. Je me suis présenté et je me suis défendu mais, hélas, le verdict a été de un an de prison ferme et le remboursement de deux fois le montant du chèque. Alors, je me suis retrouvé de statut de victime à celui de coupable. Kacem ne s'est pas arrêté là, il a bloqué mes comptes bancaires avec ordre du tribunal de Relizane avec la complicité du huissier de justice où je réside qui ont établi une citation à mon ancienne adresse de Relizane où je n'étais jamais contacté par aucun huissier de justice suivant la loi et la justice, où il fait des démarches pour encore m'escroquer et prendre l'argent disponible dans mon compte bancaire et où il a fourni toute ma filiation et mon adresse en faux, et s'est permis le luxe de faire correction auprès de la cour de Relizane en mon absence comme si je n'existe pas et où je n'étais même pas convoqué par huissier comme le dicte la loi. Monsieur le président de la République, vous qui êtes garant de la République, je viens vous pleurer mon sort. Je suis devenu hypertendu, diabétique, mon épouse et mes enfants sont traumatisés par les agissements de cet homme qui a détruit toute ma vie et celle de ma famille. M. Rachdi Miloud Coopérative Mohamed-Rassem N° 392 Bir El-Djir Oran