Alors que la loi de finances complémentaire 2009 continue de soulever des vagues dans les milieux du patronat, des banques et chez les citoyens, désormais privés de crédits à la consommation, la Centrale syndicale de l'UGTA observe pour le moment un silence. Mais, pas pour longtemps, car nous croyons savoir de sources proches de la Maison du peuple que le secrétariat national de l'UGTA va bientôt faire connaître son point de vue sur les mesures contenues dans la LFC. La centrale de Sidi-Saïd va également répondre au patronat.