Dans son édition du 21 août dernier, et sous le titre “L'AADL rassure les ex-employés de Khalifa”, des précisions sont apportées par votre journaliste, N. A., sur la position actuelle, vis-à-vis de notre agence, de ces personnes désormais sans emploi. S'il est vrai qu'aujourd'hui, ils sont “ex-employés”, il n'en demeure pas moins qu'ils restent des citoyens algériens, ayant satisfait à toutes les conditions d'éligibilité, notamment en terme de niveau de revenus, au moment même où leur demande de logement était introduite. Perdre son emploi ne peut donc, en aucun cas, tout au moins jusqu'à la date de remise des clés, entraîner une quelconque annulation des engagements pris par l'AADL. À charge, néanmoins, pour ces personnes de justifier d'un emploi, donc de revenus compris entre 12 000 et 40 000 DA au jour de la signature du contrat de location-vente et de la remise des clés du logement. Notre complément de précisions vise donc à rassurer tout ex-employé sans distinction aucune d'employeur. C'est donc au nom de notre devoir de communication que nous répondons aux interrogations du citoyen et là également sans distinction, avec toute la correction qui sied aux obligations du service public et qui a été la nôtre, lors de l'entretien accordé à votre journaliste, dont la durée en heure a été convertie en “quelques minutes” par votre journaliste. La direction de l'AADL0