Plusieurs journalistes et photographes de divers organes de presse ont été empêchés par les policiers déployés, hier à Alger, d'accomplir convenablement leur travail. Ainsi, notre photographe Bilel s'est vu dessaisi de son appareil, arrêté et conduit au commissariat. Il a été libéré peu après, mais les photos qu'il avait prises, dont celle d'un manifestant blessé en cours d'évacuation à l'hôpital, ont été effacées de son appareil.