À défaut d'envisager une sortie de crise, le mouvement de grève tend vers le pourrissement dans la wilaya de Tizi Ouzou où une cinquantaine de PES de Draâ Ben-Khedda, de Tizi Ouzou et d'Azazga ont été destinataire de convocations par la justice. Tous les PES concernés devraient se présenter, dimanche prochain, devant le tribunal. Le grief ? Ils ont été les premiers signataires du mouvement de grève décrété par le Cnapest. “En fait, il ne s'agit là que de mesures d'intimidation tout à fait ridicules”, précisait, hier, Meziane Meriane, SG du Cnapest. “D'ailleurs, l'on a assisté au même scénario dans certaines wilayas du pays, telles que Saïda, Tiaret, Oran ou Aïn Defla. Le ministre de l'Education s'entête à vouloir diviser nos rangs au lieu d'accepter le dialogue”, ajoutera le SG du Cnapest. M. H.