Le magistrat chargé d'étudier la plainte déposée par les membres du mouvement de “redressement” du FLN a avoué, en des termes à peine voilés, avoir fait l'objet de pressions, selon des sources judiciaires. Approchés par des avocats la veille du verdict de la chambre administrative près la cour d'Alger qui l'interrogeaient sur la teneur de la décision que comptait rendre son institution, ce magistrat aurait affirmé qu'il n'“était pas prêt à compromettre le pain de ses enfants”. Comprenne qui voudra.