En réponse à la lettre signée par la rédaction nationale publiée par le journal Liberté le 18 juin 2013 concernant un permis de construire, nous, héritiers Touat, avons adressé un acte constitutif d'une coopérative immobilière familiale avec pour président Touat Anis, après avoir obtenu l'accord de toutes les administrations concernées. La commune nous a établi et délivré un permis de construire en date du 11 octobre 2010. Depuis le début des travaux, un certain Slimana Alaoua n'a cessé de nous attaquer en justice pour nous faire arrosement les travaux. Devant le tribunal administratif de Tizi Ouzou, il a réussi à annuler le permis de construire, un appel a été donc fait devant le Conseil d'Etat par les héritiers Touat et on a eu gain de cause et justice a été faite par le jugement du 31 janvier 2013 n°77477 où il est précisé à Slimana Alaoua qu'il n'avait aucune qualité d'annuler ce permis délivré par l'administration. Notons, au passage, que le dénommé Slimana Alaoua tente de nous empêcher de construire pour avoir lui-même entamé la construction d'une villa avec piscine sur un lot de terrain qui lui a été vendu par notre oncle paternel et se situe sur le lotissement Touat, les deux propriétés étant séparées par une route d'une largeur de plus de 15 mètres. Après qu'il eut été débouté par le Conseil d'Etat, il a commencé à attaquer mes ouvriers en justice pour des raisons futiles les empêchant de travailler. Les désagréments que nous rencontrons du fait de l'usage de voies illégales ne nous permettent pas de nous taire étant donné que nous sommes détenteurs d'un droit que nous devons défendre par toutes les voies légales. Touat Anis Nom Adresse email