L'administrateur délégué et chargé du recrutement au FC Nantes (Ligue 1 française de football) a relevé mercredi la complexité du transfert de l'attaquant international algérien du CR Belouizdad, Islam Slimani, estimant que son club ne sait plus à quelle partie s'adresser pour négocier, à cause de l'implication d'une multitude d'agents. "J'ai lu qu'il devait débarquer en Europe et notamment à Nantes cette semaine. Le problème, c'est que je n'ai jamais parlé au joueur et je n'ai jamais parlé au club d'en face. En revanche, j'ai eu au moins 50 agents qui m'ont appelé pour ce joueur. C'est dingue ! Oui, on aimerait bien le faire venir mais le problème, c'est qu'on ne sait plus à qui parler dans ce dossier. Tout le monde a un mandat pour représenter ce joueur", a affirmé Franck Kita au site spécialisé But. L'avant-centre des Verts, conforté par le verdict de la CRL de la Fédération algérienne de football (FAF) qui lui a donné gain de cause dans sa requête visant la résiliation de son contrat, a fait savoir à ses dirigeants que ces derniers n'ont aucun droit pour prétendre à une quote-part de son éventuel transfert. Le transfert de Slimani au FC Nantes, nouveau promu parmi l'élite française, se complique et les déclarations de l'administrateur du club ne vont pas aider le joueur dans sa quête d'une carrière en Europe, selon le site. Le directeur général de la SSPA/CRB, Malek Réda, a affirmé mardi à l'APS que le transfert de Islam Slimani, est en "stand-by", jusqu'à l'annonce du verdict du Tribunal arbitral sportif algérien (TAS), après le recours déposé par le Chabab. Le site spécialisé But estime que le conflit qui oppose Slimani à sa direction rappelle au FC Nantes un mauvais épisode, celui du guinéen Ismaël Bangoura qui a mis six mois pour obtenir gain de cause. Nom Adresse email