On peut relever dans cette volonté d'améliorer la gestion du pays au cours du 4e mandat des points faibles que s'ils ne sont pas gommés vont contrecarrer le plan Bouteflika pour redresser la situation économique et sociale très fragile actuellement. D'abord, ni le programme électoral du chef de l'Etat ni ses orientations après son investiture ne mettent l'accent sur l'éradication de l'informel. Une priorité du gouvernement Sellal de septembre 2012 à avril 2014. Sans cette action, il est vain de s'attendre à un système productif, diversifié, compétitif. Second point faible : les équipes qui doivent mettre en œuvre le programme présidentiel correspondent-ils à ce profil du changement. Quand on sait que des walis bloquent des milliers de projets d'investissements à l'intérieur du pays, selon une organisation patronale, on ne être que sceptiques. Troisième point faible : la bureaucratie. Faute d'une administration réformée, faute de processus transparents, de simplification des procédures, la bureaucratie continuera à freiner le développement du pays si l'Etat n'est pas là pour annihiler ses capacités de nuisance. K. R. Nom Adresse email