Le niveau de production du complexe d'El-Hadjar s'avère être trois fois moins que celui des autres usines du géant indien en sidérurgie Ispat, installées dans le monde. Telle est la confidence faite par le PDG d'Ispat la semaine dernière, à en croire des sources proches de la direction générale du groupe indien. Alors que d'autres complexes ouverts en Inde ou en Angleterre, disposant des mêmes infrastructures et du même potentiel humain produisent nettement mieux que celui d'El-Hadjar. En revanche, il y a encore un besoin pressant sur certaines références d'acier en Algérie et qui ne sont pas disponibles sur le marché. Et l'on persiste toujours à les importer. La situation du groupe indien résulte-t-elle d'une erreur d'étude de marché ou tout simplement d'un choix délibéré ?