La célébration de la Journée internationale des droits de l'Homme a été marquée, hier, à Oran par l'organisation d'une journée d'étude animée par des universitaires et des juristes. L'un après l'autre, les intervenants, qui se sont succédé à la tribune du CRIDSSH, ont abordé assez succinctement des thèmes ayant trait à la problématique des droits de l'Homme dans la phase transitoire, à la législation nationale et aux droits de l'Homme en Algérie ainsi qu'aux réserves et déclarations interprétatives émises par l'Algérie aux conventions de Copenhague. À ce sujet, Me Khemisti Farid évoquera l'inadaptation de certains textes juridiques régissant la loi algérienne par rapport au contexte juridique international en matière des droits de l'Homme. Dans cet ordre d'idées, l'orateur soulèvera l'épineux problème des cadres injustement incarcérés pendant deux ans et qui n'ont pas été indemnisés par l'Etat. B. G.