Le dossier de souscription à la formule AADL d'une jeune femme de la wilaya de Béjaïa a été rejeté au motif que son nom figure dans une frédha ; un document établi par le notaire et dans lequel sont désignés les héritiers et leurs parts respectives du legs de son défunt père. Or, l'héritage, partagé par 11 frères et sœurs, consiste en un appartement F3. La concernée est à son cinquième recours. Mais c'est toujours le silence radio de la part de la commission ministérielle des recours auprès du ministère de l'Habitat, de l'Urbanisme et de la Ville.