Les dernières condamnations à des peines de prison de militants associatifs et des droits de l'Homme n'ont pas laissé de marbre le Front des forces socialistes (FFS) qui a réagi, via un communiqué, où il met en garde contre ces pratiques. Pour le FFS, l'indépendance de la justice et l'Etat de droit "ne sont pas à l'ordre du jour", et cette absence se traduit par "la judiciarisation des problèmes politiques" qui devient, selon ce parti, "la règle dans la gestion des conflits sociaux". Exprimant sa solidarité avec ces militants, le FFS exige la libération immédiate et inconditionnelle de ces militants et estime que l'injustice et l'arbitraire peuvent avoir des conséquences désastreuses sur la stabilité du pays. M. M.
