Quarante ans après l'indépendance du pays, beaucoup de rues, d'impasses et autres ruelles continuent à porter des noms français et n'ont pas encore les noms de nos valeureux chouhada. Sans vouloir toucher à l'intégrité de certaines personnalités ayant une notoriété universelle et autres amis de l'Algérie, on ne peut que s'interroger, en revanche, pourquoi les 160 rues de la capitale portent en 2005 des noms français comme Fontainebleau, Georges, Rommel, Sergent André, Lafarge, Limousin, Roussillon, Clairval et autre Franche-Comté.