Les dernières informations parues dans la presse locale faisant état d'une volonté de la direction du Mouloudia d'Oran de limoger le coach et de le faire remplacer par l'entraîneur de l'ASO Chlef, Slimani ou encore par Henkouche du Ghali de Mascara, ont fait réagir Mecheri Abdellah qui a exigé des explications. Faisant suite aux dernières critiques de Djebari à l'issue de la défaite face à l'USM Alger (0-1), Mecheri trouve que les “fuites” ne seraient pas “innocentes” et a demandé à voir le président Djebari pour, indique-t-il, crever l'abcès. À cet effet, la rencontre devait avoir lieu hier en fin d'après-midi entre les deux hommes pour mettre les points sur les “i”. “M. Djebbari m'a déjà rassuré au téléphone que c'était tout simplement de l'intox. Cependant, nous allons nous voir aujourd'hui à 17h00 (hier ndlr)”, nous a confié Mecheri qui ne semble pas également manifester le désir de quitter le MCO. Pour sa part, Djebari, contacté par nos soins, souligne que “c'est là une campagne d'intox pour nuire au MCO. Je n'ai pas contacté Slimani, qui est un entraîneur déjà en service à l'ASO, et encore moins pensé à limoger Mecheri…” On en saura un peu plus certainement aujourd'hui. A. A. ASM Oran Les joueurs en stand-by Depuis sa prise en main de l'équipe, le coach Medjadj n'a pas connu de repos. Son objectif demeure le maintien. Néanmoins, pour le réaliser, la tâche ne sera pas de tout repos. En somme, la mission est très difficile mais elle n'est pas impossible. Dans ce contexte, les gars de M'dina J'dida devaient disputer hier un match amical à Témouchent face au Chabab local. Les coéquipiers de Faradji travaillent d'arrache-pied en dépit de leur état d'esprit. Cela est dû, en premier lieu, à la non-régularisation de la situation financière des joueurs. Actuellement, ils sont en stand-by, car le président Mahiaoui est absent depuis plusieurs jours. Ils iront jusqu'au bout de leurs revendications, ont-ils déclaré. Par ailleurs, le joueur Tonde Ablasse n'est toujours pas qualifié. Par conséquent, le problème de l'attaque reste toujours posé. Ce qui explique, entre autres, la stérilité de la ligne avant de l'ASMO. A. A.