Une campagne d'arrestations frappe à nouveau brutalement et illégalement des citoyens et des personnalités publiques proches du soulèvement populaire pacifique. Elle menace tous ceux qui s'engagent en faveur d'un changement radical et contre les choix unilatéraux des autorités de fait. La répression n'épargne ni les symboles de l'Histoire de la libération nationale ni les militants du combat politique contre la corruption et pour les libertés individuelles et collectives. Elle touche toutes les catégories de la population et tous les courants idéologiques de la société. À Oued Rhiou, l'irresponsable recours à l'usage des armes à feu par les forces de l'ordre a entraîné mort d'hommes et créé un précédent extrêmement dangereux en comparaison au pacifisme mondialement reconnu des manifestants. À l'aube du huitième mois du soulèvement populaire pacifique, le pouvoir assume publiquement, par la voix du chef d'état-major de l'armée, la poursuite de la violation de droits constitutionnels fondamentaux consacrés par les conventions et pactes internationaux. Symbole de l'Etat national et de l'indépendance du pays, Alger, la capitale, est interdite d'accès aux Algérien(ne)s les jours de manifestations, au mépris de la liberté de circulation reconnue par le Droit. Pis, le droit de propriété est cyniquement piétiné par la menace de saisie et de verbalisation des véhicules transportant tout présumé manifestant. Cette stratégie de la peur collective est mise en place dans le vain espoir de décapiter et de casser la mobilisation populaire pacifique contre le système autoritaire et ses symboles. Seul importe le passage en force du choix unilatéral du pouvoir au mépris du droit du peuple à connaître et débattre de toutes les options de sortie de crise proposées par toutes les parties. Nous, signataires, dénonçons et condamnons fermement la campagne illégale de répression et la guerre subversive déclenchée contre les militants politiques et les citoyens et manifestants pacifiques. Nous exigeons l'arrêt immédiat de la répression, la libération inconditionnelle de tous les détenus d'opinion et la levée de toutes les entraves aux droits et libertés. Nous appelons le peuple algérien à se mobiliser pacifiquement et massivement jusqu'à l'arrêt total de l'arbitraire et l'aboutissement de ses revendications démocratiques. Une campagne d'arrestations frappe à nouveau brutalement et illégalement des citoyens et des personnalités publiques proches du soulèvement populaire pacifique. Elle menace tous ceux qui s'engagent en faveur d'un changement radical et contre les choix unilatéraux des autorités de fait. La répression n'épargne ni les symboles de l'Histoire de la libération nationale ni les militants du combat politique contre la corruption et pour les libertés individuelles et collectives. Elle touche toutes les catégories de la population et tous les courants idéologiques de la société. À Oued Rhiou, l'irresponsable recours à l'usage des armes à feu par les forces de l'ordre a entraîné mort d'hommes et créé un précédent extrêmement dangereux en comparaison au pacifisme mondialement reconnu des manifestants. À l'aube du huitième mois du soulèvement populaire pacifique, le pouvoir assume publiquement, par la voix du chef d'état-major de l'armée, la poursuite de la violation de droits constitutionnels fondamentaux consacrés par les conventions et pactes internationaux. Symbole de l'Etat national et de l'indépendance du pays, Alger, la capitale, est interdite d'accès aux Algérien(ne)s les jours de manifestations, au mépris de la liberté de circulation reconnue par le Droit. Pis, le droit de propriété est cyniquement piétiné par la menace de saisie et de verbalisation des véhicules transportant tout présumé manifestant. Cette stratégie de la peur collective est mise en place dans le vain espoir de décapiter et de casser la mobilisation populaire pacifique contre le système autoritaire et ses symboles. Seul importe le passage en force du choix unilatéral du pouvoir au mépris du droit du peuple à connaître et débattre de toutes les options de sortie de crise proposées par toutes les parties. Nous, signataires, dénonçons et condamnons fermement la campagne illégale de répression et la guerre subversive déclenchée contre les militants politiques et les citoyens et manifestants pacifiques. Nous exigeons l'arrêt immédiat de la répression, la libération inconditionnelle de tous les détenus d'opinion et la levée de toutes les entraves aux droits et libertés. Nous appelons le peuple algérien à se mobiliser pacifiquement et massivement jusqu'à l'arrêt total de l'arbitraire et l'aboutissement de ses revendications démocratiques. Alger, le dimanche 22 septembre 2019 Une campagne d'arrestations frappe à nouveau brutalement et illégalement des citoyens et des personnalités publiques proches du soulèvement populaire pacifique. Elle menace tous ceux qui s'engagent en faveur d'un changement radical et contre les choix unilatéraux des autorités de fait. La répression n'épargne ni les symboles de l'Histoire de la libération nationale ni les militants du combat politique contre la corruption et pour les libertés individuelles et collectives. Elle touche toutes les catégories de la population et tous les courants idéologiques de la société. À Oued Rhiou, l'irresponsable recours à l'usage des armes à feu par les forces de l'ordre a entraîné mort d'hommes et créé un précédent extrêmement dangereux en comparaison au pacifisme mondialement reconnu des manifestants. À l'aube du huitième mois du soulèvement populaire pacifique, le pouvoir assume publiquement, par la voix du chef d'état-major de l'armée, la poursuite de la violation de droits constitutionnels fondamentaux consacrés par les conventions et pactes internationaux. Symbole de l'Etat national et de l'indépendance du pays, Alger, la capitale, est interdite d'accès aux Algérien(ne)s les jours de manifestations, au mépris de la liberté de circulation reconnue par le Droit. Pis, le droit de propriété est cyniquement piétiné par la menace de saisie et de verbalisation des véhicules transportant tout présumé manifestant. Cette stratégie de la peur collective est mise en place dans le vain espoir de décapiter et de casser la mobilisation populaire pacifique contre le système autoritaire et ses symboles. Seul importe le passage en force du choix unilatéral du pouvoir au mépris du droit du peuple à connaître et débattre de toutes les options de sortie de crise proposées par toutes les parties. Nous, signataires, dénonçons et condamnons fermement la campagne illégale de répression et la guerre subversive déclenchée contre les militants politiques et les citoyens et manifestants pacifiques. Nous exigeons l'arrêt immédiat de la répression, la libération inconditionnelle de tous les détenus d'opinion et la levée de toutes les entraves aux droits et libertés. Nous appelons le peuple algérien à se mobiliser pacifiquement et massivement jusqu'à l'arrêt total de l'arbitraire et l'aboutissement de ses revendications démocratiques. Alger, le dimanche 22 septembre 2019 Liste des signataires : -AAMI Arezki, fonctionnaire -ABBAS Nacim, retraité - AGGOUNE Massinissa, entrepreneur - AIT BACHIR Nacer, médecin -AIT DJOUDI Ali, président de Riposte internationale -AIT MAAMAR Idir, militant démocrate -ALIOUA Fatma, sociolinguiste, militante des droits des femmes -ALLAHOUM Nachida, enseignante retraitée -ALLAL Toufik, militant associatif -AOULI Boudjema, médecin ORL -AROUS Zoubir, professeur d'université -ATROUCHE Rachid, Canada -Azzi Abdelmadjid, auteur et ancien syndicaliste -BABADJI Messaoud, Université de Sidi Bel-Abbès -BADAOUI Ahmed, ancien syndicaliste -BELHOUCHET Omar, journaliste, ancien directeur du journal El Watan -BAKIR Mohand, militant démocrate -BELKHIRI Lakhdar, gérant d'un centre de formation -BELLACHE Samia, directrice commerciale -BENNAMARA Mohamed, Canada -BENCHIKH Madjid, professeur émérite, ancien doyen de la Faculté de droit d'Alger, ancien président d'Amnesty International en Algérie. - BENDAOUD Abdallah, juriste -BENKHEMOU Mustapha, militant de la démocratie -BENMEDAKHENE Hocine, journaliste, militant démocrate -BEN MOHAMED, poète, militant culturel -BENISSAD Noureddine, avocat, président de la LADDH -BEN YAOU Madjid, enseignant chercheur, université Mouloud-Mammeri, Tizi Ouzou. -BERKAT Oulézia, médecin spécialiste -BOUCHAKOUR Mohamed, professeur d'université -BOUHADEF Mustapha, militant démocrate -BOUMAIZA Nadir, professeur émérite en socio-géographie -BOUNNOUR Sabah, ancienne parlementaire -BOUAOUDIA Nacira, Canada -BOURABA Omar, ACDA -BOURENANE Nacer, universitaire -BOUSELOUA Nadia, journaliste -BOUMEDJANE Hocine, élu APW et LADDH Béjaïa -BOUDJEMA Hacene, directeur, fonction publique universitaire -BOUMEGHAR Mouloud, professeur de droit - BROURI Mansour, professeur en médecine - BRAHIMI Ali, militant démocrate -CHAIB Salah, Canada - CHALLAL Arezki, président du collectif des familles de détenus d'opinion -CHITOUR BOUMENDJEL Fadila, professeur en médecine -DJENANE Abdelhak, docteur vétérinaire -FERSAOUI Abdelouhab, président du RAJ -FERDJALLAH Ferdjallah, ingénieur, militant politique -FERRAD Mohamed Arezki, écrivain et chercheur en histoire -FIRAD Laïd, retraité éducation nationale -GHESSAB Kader, consultant senior -GOUSMI Ali, universitaire -GHECHIR Boudjema, avocat, ancien président de la LADH -GUELLAZ Ahmed, avocat, Blida - HACHOUR Madjid, avocat -HADBI Youcef, architecte - HADAD Nacer, militant démocrate -HARFOUCHE Ali, universitaire -HAMI Hamid, retraité de l'éducation nationale. -HEBIB Youcef, militant démocrate - HIRECHE Hacène, consultant -IAMARENE Dalila, féministe -KACI Mekhlouf, Ecrivain, enseignant de tamazight -KADRI Aïssa, universitaire -KHALED-KHODJA Kamel, Canada -KHEDDAR Chériffa, Association Djazaïrouna -KHELIL Saïd, militant démocrate -KERMICHE Fella, maître de conférences biologiste, collectif NUR, UMBA -KESSIR Zina, Canada -KIBOUR Fatma, professeur d'université -LADADA Mohamed, médecin retraité -LAHOUARI Addi, professeur émérite de sociologie -LAHOUAZI Ilyas, président de l'Association des étudiants nord-africains de France (ENAF) - LAHLOU Mohmed, professeur d'université -LASSOULI El Hadi, agriculteur -LAYACHI Ansar, académicien - LESBET Bédira, militante associative -LOUNAS Makhlouf, Canada -MABROUK Haitème, étudiant, UMBA - MADI Mustapha, professeur d'université -MALEK Sabrina, étudiante -MAOUGAL Lakhdar, professeur d'université -MEBAREK Abdelkader, professeur de métallurgie, membre du collectif NUR, UMBA - MECHOU Rachid, retraité -MEHANA Abdeslam, enseignant USTHB -MEHDI Nafa, maître de conférences en informatique, membre du collectif NUR, UMBA - METREF Arezki, Journaliste -MIRA Tarik, militant de la démocratie -MOKTEFI Kamel, toxicologue, Canada -MOUGARI Essaïd, militant de la démocratie -MOULLA Ramdane, militant démocrate -MOUSSI Ahcene, économiste -NADJI Safir, universitaire - NAIT SALAH Belkacem, avocat - OUALI Ahmed, opérateur économique -OUFERHAT Mahieddine, chef d'entreprise -OUFERHAT Mourad, formateur -OUHAIBIA Billel, maître de conférences, dépt. de français, UMBA -REGGABI Mohamed, professeur en pharmacie, Fac. de médecins d'Alger -SADOU Zazi, militante pour la démocratie et les droits des femmes -SAFAR ZITOUN Madani, professeur d'université -SAHEB Hakim, avocat -SALEM Farid, Canada -SALHI Saïd, vice-président LADDH -Si AHMED Menad, climatologue -SIDHOUM Yasmina, cadre -TALEB Azzedine, cadre d'entreprise, militant politique et associatif -TIMSILINE Loucif Nacer, auditeur en chef -TLEMÇANI Rachid, politologue -TOUDERT Adel, Canada - TRIKI Sandra Sabrina, maître de conférences dépt. d'italien, membre du Collectif NUR, UMBA -YAKER Farid, militant associatif -ZAAF Mohamed, professeur de métallurgie, membre du Collectif NUR, UMBA