Dans un communiqué rendu public hier, la fédération FFS de Ghardaïa a dénoncé les intimidations et le harcèlement judiciaire dont font l'objet, M. Djelmani Mohamed, membre du bureau national de la ligue pour la défense des droits de l'homme (LADDH) et le Dr Fekhar Kamel Eddine, secrétaire national du FFS chargé du mouvement associatif et leurs camarades membres du parti et militants de la LADDH. La fédération du FFS révèle que ces militants sont encore une fois convoqués par la justice pour “des délits qui n'en sont pas”. Pour le FFS, ces poursuites judiciaires et l'emprisonnement du journaliste Bachir Larabi n'ont pas lieu d'être car les partis politiques, les organismes des droits de l'homme et la presse sont“de véritables leviers, agents et instruments du combat contre le mal”. Il est précisé, entre autres, que le journaliste détenu à la prison d'Aïn Seffra n'a fait que “dénoncer et débusquer la diaspora qui gangrène tous les aspects de la vie du pays”. S. I.