“Nous n'avons presque plus de nouveaux dossiers disciplinaires”, précise Mohamed Sahraoui. Le directeur de l'inspection générale du ministère de la justice lie cette réduction à l'effet dissuasif des “sanctions sévères” ayant ciblé auparavant des juges. Il la renvoie aussi à l'amélioration des conditions de travail des magistrats, grâce notamment à une meilleure gestion des mutations. Les cas disciplinaires encore en suspens seront examinés par le Conseil supérieur de la magistrature dans la seconde quinzaine du mois de février. S. L.