Touché par la vague de licenciements lors du Printemps noir en Kabylie, un agent du pénitencier de la ville d'Azazga, Amar Zerar en l'occurrence, n'est pas encore réintégré à son poste de travail malgré toutes les démarches fructueuses entreprises auprès du wali et du procureur général de Tizi Ouzou. Originaire d'Ath Douala et père de cinq enfants, M. Zerar estime être “victime d'une bureaucratie flagrante”. Il indiquera, à ce titre, qu'une décision de réintégration a été prise lors des rounds de dialogue entre le mouvement des archs et le Chef du gouvernement, M. Ahmed Ouyahia. Selon les documents en notre possession, la décision de sa réintégration dépend, désormais, de la direction générale de l'administration pénitentiaire.