Selon une source proche de la Fédération algérienne de tennis, le programme de travail de cette instance peine à démarrer en raison de l'absence de moyens financiers. Ni la subvention allouée à la FAT ni les bourses de préparation destinées aux athlètes de l'élite n'ont été débloquées par la tutelle jusque-là. Certains acteurs du mouvement sportif national lient cette situation au bras de fer, qui ne dit pas son nom, opposant le ministre de la Jeunesse et des Sports au président de la fédération, le Dr Mohamed Bouabdellah. Deux vieilles connaissances du secteur de la santé, car tous deux chirurgiens.