“Les relations entre l'Algérie et la France sont des relations anciennes qui ne souffrent jamais des petits nuages passagers”, il ne s'agit “pas simplement de relations entre dirigeants”, mais “de relations d'institutions, entre agents d'affaires, il s'agit de relations diverses, profondes, que rien ne peut altérer”, et de ne pas se soucier “de ces relations et en particulier du traité d'amitié (...), un pacte qui a une valeur juridique” et doit pouvoir “reposer sur des engagements forts, inscrits dans la durée”, a déclaré le ministre chargé des collectivités locales, M. Daho Ould Kablia, en marge de la 12e réunion de la conférence des ministres de l'intérieur de la méditerranée occidentale (Cimo). “Je n'ai rien à ajouter”, s'est contenté de répondre M. Sarkozy à qui la même question a été posée, prenant ainsi une position qui tranche avec celle de Douste-Blazy que“les points qui fâchent” irritent.