Suite à l'article sur les gynécologues de l'hôpital d'Aïn Oussera, wilaya de Djelfa, paru dans votre édition du jeudi 23 novembre 2006, certaines clarifications s'imposent. Il faut savoir que des gardes sont assurées de nuit comme de jour, ainsi que durant le week-end avec seulement deux gynécologues. Pour ce faire, nous rencontrons beaucoup d'obstacles et d'embûches du fait de la défaillance d'une partie du personnel, tous corps confondus. Il est clair qu'aujourd'hui, ces personnes, en marge de la dynamique insufflée par le nouveau gynécologue dans le cadre de la réforme hospitalière initiée par le ministre de la Santé, n'ont d'autres choix que de prendre le train en marche pour être au diapason de ce qui se fait ailleurs.
