L'établissement de l'acte de mariage avant la Fatiha (cérémonie religieuse) a pour effet de “préserver les droits des personnes”, a déclaré hier à Alger le ministre des Affaires religieuses et des Waqfs M. Bouabdallah Ghoulamallah. En présidant l'ouverture du 5e Colloque national des mourchidate, le ministre a souligné que “l'acte de mariage est un acte légal et il n'y a aucun inconvénient à ce qu'il précède la Fatiha qui sera lue par l'imam, une fois l'acte établi”. Il a, d'autre part, indiqué que les fatwas délivrées par le ministère des Affaires religieuses sont émises par des experts en jurisprudence qui “se réfèrent à la charia pour émettre ces fatwas”. R. N.