Ayant bénéficié de lots de terrain pour la construction d'habitations personnelles, 300 familles de Bordj-El Kiffan ont obtenu des décisions en 1995 auprès de l'APC avant d'acquitter la totalité des frais au niveau de l'Agence de gestion du foncier d'Alger (AGERFA). Vu la lenteur de l'administration et les oppositions émises par les uns et les autres, l'affaire a été déférée au tribunal d'El–Harrach qui a rendu un jugement favorable à ces familles. Selon ce jugement, il leur est permis d'entamer leurs constructions, après huit ans d'attente. Hélas ! Les autorités locales s'entêtent à refuser de délivrer les documents nécessaires. Les familles ont été contraintes d'adresser une requête au Président de la République, sous la forme d'une lettre ouverte, et elles attendent encore...