Parmi les sénateurs désignés par le président de la République (tiers présidentiel), figure un membre qui jouit de la double nationalité, algérienne et française. Les observateurs estiment que la nomination de ce sénateur par Bouteflika n'obéit pas aux lois régissant actuellement le Conseil de la nation. Ou alors, comme le supposent d'autres, le chef de l'Etat n'aurait pas été informé du statut de l'intéressé lors de la désignation de celui-ci à ce poste.