Si au sein du MSP la tendance incarnée par Menasra est ouvertement hostile à un troisième mandat pour Bouteflika, Abou Djerra Soltani de son côté a reproché à Belkhadem de faire cavalier seul au lieu d'associer les autres partenaires de la coalition présidentielle. Pour le chef du MSP, la démarche de Belkhadem, qui fait de la politique politicienne, est de nature à compromettre le troisième mandat et même la révision constitutionnelle.