Sur la centaine de communes encore bloquées, faute d'accord entre les élus appartenant à différentes listes, il n'en reste actuellement qu'une trentaine. C'est du moins ce qu'a indiqué Belkhadem jeudi, en précisant que l'appel lancé par les partis de l'alliance présidentielle lors de leur dernière réunion est pour beaucoup dans le règlement du problème. Belkhadem ne désespère pas de voir la situation se débloquer dans les prochains jours. Et pour les communes récalcitrantes, la loi sera appliquée dans toute sa rigueur, c'est-à-dire une dissolution pure et simple et probablement un autre passage aux urnes.