constantine saisie de plus de deux tonnes de marchandises Le montant des fraudes fiscales, par défaut de facturation, enregistré durant le mois écoulé par les services de la direction du commerce de la wilaya de Constantine est de 25 millions de centimes. Les brigades de contrôle de cette direction ont saisi, au cours de cette période, une quantité de plus de 2 tonnes de marchandises. Notons qu'une partie de cette quantité de produits saisis est impropre à la consommation. La quantité des marchandises saisies, temporairement, aux fins d'analyses, est d'une tonne, alors que celle des produits retirés définitivement des étalages s'élève à 1,16 tonne. Les interventions des brigades de la DCP se sont matérialisées par 60 retraits définitifs et 12 temporaires de biens. D'autre part, 10 locaux ont été fermés pour manque d'hygiène. Radia M. A. sécheresse à bordj bou-arréridj menace sur les récoltes La sécheresse anéantit les efforts de reprise des activités agricoles dans toute la région de Bordj Bou-Arréridj. Les agriculteurs s'inquiètent pour la prochaine saison tandis que le prix des produits monte. Les paysans de Bordj Bou-Arréridj continuent à vivre dans le désarroi et l'incertitude. Les pluies de janvier et février, mois connus pour leur générosité, ne sont pas encore arrivées. Les plus pessimistes craignent de nouvelles perturbations climatiques. “Nous avons beaucoup perdu dans cette sécheresse. Aucune plante n'a résisté à l'arrêt subit et prolongé des pluies. Déshydratées et brûlées par le soleil, le jour et le verglas la nuit, elles se laissent mourir en silence. Nous ne reprendrons les travaux des champs que lorsque nous aurons vu, de nos propres yeux, les premières gouttes de pluie”, disent les paysans que nous avons rencontrés. Ces paysans, avec les charges familiales et professionnelles, auront des difficultés cette année d'assurer leur propre subsistance. À rappeler que la région compte, 247 000 hectares de terres agricoles dont 86 553 de cultures herbacées, 76 141 de terres agricoles, 150 de prairies naturelles, 48 628 de pacages et parcours, 24 972 de plantations fruitières et 10 556 de terres incultes. Chaâbane Bouarissa douar el hassi à oum el bouaghi quand l'électricité vient à manquer… Très convoité par les voleurs, le câble électrique fait l'objet de vols répétés par les bandes spécialisées, surtout dans les zones rurales. En effet, l'on apprend, de source concordantes, que le douar El Hassi dans la commune de Aïn Beïda, dont les câbles électriques ont fait l'objet d'une opération de vol, depuis plus d'une année, a vu les familles contraintes de vivre dans le noir, voire dans une paralysé totale. Sachant que les productions de ces derniers sont tributaires de l'énergie électrique. Ainsi, ils sont contrains au chômage. S'ils ont “re- sorti” les lampes à l'huile pour illuminer leurs maisons, l'alimentation en eau potable se fait avec le seau à partir des puits du moment que seule l'énergie électrique fait fonctionner les pompes. Ne sachant à quel saint se vouer, les agriculteurs et les éleveurs de bétail lancent un véritable cri de détresse en direction des autorités de la localité de Aïn Beïda pour que le raccordement de leur douar à l'énergie électrique soit opéré le plus tôt possible pour redynamiser le vie agricole dans cette zone rurale. K. Messaâd