Les souscripteurs au programme de l'Agence pour l'amélioration et le développement du logement (AADL) commencent vraiment à s'inquiéter, et ce, quelques jours après le limogeage de Kheïreddine Al Walid. En effet, de cauchemar en cauchemar, quand on sait qu'un premier directeur général, M. Bounafaâ, a également fait les frais d'un limogeage, les bénéficiaires de la formule location-vente s'interrogent jusqu'à quand le ministère de l'Habitat et de l'Urbanisme continuera-t-il à tenir en haleine des milliers de familles, sachant que des chantiers entiers accusent un retard flagrant, non seulement dans la livraison mais aussi dans l'avancement des travaux ?