MASCARA : ACCIDENT DE LA CIRCULATION 6 morts et 1 blessé Six morts, un jeune homme, 2 femmes, 2 enfants et 1 nourrisson, ainsi qu'un blessé ayant échappé miraculeusement, tel est le bilan d'un tragique accident de la circulation survenu, jeudi dernier vers 17h, à Mascara au lieu-dit Kouaïr. Le drame, selon les premiers témoins, s'est produit au moment où le conducteur d'un véhicule de marque Renault Clio Classic, immatriculé à Oran, s'était engagé pour effectuer un dépassement dangereux. Cette manœuvre lui a été fatale puisqu'il s'est retrouvé nez à nez avec un camion-citerne qu'il n'a pu éviter. Ainsi, le choc était inévitable et le véhicule léger s'est encastré à l'avant du camion. Eu égard à la vitesse à laquelle roulait le chauffeur de la Clio et la violence du choc, le véhicule léger a été réduit en un amas de ferraille. Les victimes, membres d'une même famille, se trouvaient toutes à bord de la Clio puisque le conducteur du camion en est sorti indemne physiquement mais choqué. Alertés, les éléments de la Protection civile se sont déplacés sur les lieux pour procéder au transport des corps des victimes vers l'hôpital de Mascara. La gendarmerie a ouvert une enquête afin de déterminer les causes et les circonstances de ce drame qui a décimé toute une famille. A. B. COLLISION ENTRE UN VéHICULE ET UNE MOBYLETTE 1 mort et 1 blessé grave Dans la soirée de jeudi, vers 21h, sur la RN6 entre Mascara et Froha, un taxi Peugeot 505 a violemment heurté une mobylette de marque Peugeot montée par deux jeunes hommes. Le conducteur bécane, 28 ans, est décédé et son compagnon, 24 ans, est grièvement blessé ayant subi un traumatisme crânien doublé d'une hémorragie externe. Dépêchés sur les lieux, les sapeurs-pompiers ont évacué les victimes vers l'hôpital de Mascara et la gendarmerie a ouvert une enquête . A. B. Sa?da Les squatteurs écroués Les 8 personnes qui ont squatté des logements sociaux à la cité Zitoune dans la commune de Saïda ont été arrêtées et présentées, mercredi dernier, devant le procureur de la République près le tribunal de Saïda qui les a mis en détention préventive. Les familles des mis en cause estiment que c'est le retard mis dans la réalisation des projets de construction des logements, la lenteur de leur distribution à leurs bénéficiaires et de l'étude des recours introduits, qui ont poussé les familles à occuper les appartements finis, fusse-t-il de manière illicite. F. Z.