“Le marché informel représente 60% du commerce en Algérie”, a annoncé M. Boulanouar, porte-parole de l'Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA), lors d'une conférence de presse tenue, hier, au niveau du siège de l'UGCAA, à Constantine. Selon le conférencier, cet état de fait explique le nombre, de plus en plus, décroissant des commerçants qui activent en toute légalité, autrement dit, avec un registre du commerce. “Durant les six dernières années, près de 30 000 artisans ont été obligés de déposer leur registre du commerce”, expliquait-il au cours d'une rencontre organisée à l'occasion de la prochaine rentrée sociale.