Par le biais de son effroyable arme «Al Jazzera», le Qatar a réussi à pousser les peuples de plusieurs pays arabes à se révolter contre leurs dirigeants. Déstabilisant jusqu'ici trois pays, à savoir la Tunisie, la Libye et l'Egypte, les gouvernants du Qatar ont braqué actuellement les radars et les caméras vers le Yémen et la Syrie. Dans l'attente de cibler d'autres pays, Doha transfert ses fonds vers l'Occident pour investir et financer plusieurs projets. Contrairement aux pays arabes où ils ont semé la haine, la violence et la discorde, les dirigeants qataris ont préféré placer leurs fonds au Japon, en Grande-Bretagne, aux Etats-Unis d'Amérique, en Allemagne, au Luxembourg et dans plusieurs autres pays occidentaux. C'est avec les fonds du Qatar que ces pays ont fait évoluer leurs économies surtout en ces périodes difficiles où la crise économique mondiale sévit. Ces derniers mois, le Qatar a choisi également la France pour y placer son argent. Après avoir acheté le Paris Saint-Germain, Doha décide de créer un fonds de 50 millions d'euros. Ces fonds seront destinés à financer des projets dans les banlieues de l'Ile-de-France, ont déclaré les Qataris. Même si personne ne pourrait refuser de l'argent surtout en ces périodes de crise, les Français acceptent mais s'interrogent sur le choix des banlieues ? La question demeure pour l'instant sans réponse dans l'attente d'y voir plus clair, lorsque le Qatar dévoile ses véritables intentions et objectifs. En revanche, les Qataris ne mettront pas un centime dans les caisses des pays où ils ont mis le feu aux poudres. En Libye, ils ont tout de même expédié des armes de guerre aux «Thouars» pour leur permettre d'écraser les «Kataïbs» pro-Kadhafi. Ces armes ont permis aux Libyens de se flinguer entre eux au moment où Doha a raflé l'argent du pétrole. Le Qatar ne donnera pas un sou aux Egyptiens, après avoir donné des promesses aux «révolutionnaires» de leur venir en aide après la chute du «Raïs». Le chef du gouvernement actuel l'a affirmé devant la presse, déclarant que leurs «amis» ont tourné le dos au peuple égyptien et n'ont pas tenu leurs promesses. C'est le même cas pour la Tunisie dont les caisses sont vides, qui n'a reçu également aucune aide de la part de ceux qui ont déstabilisé le pays.