Des femmes gendarmes, des employées civiles à la gendarmerie, des femmes journalistes, des femmes médecins et enseignantes à l'université ont pris part hier au commandement de la gendarmerie à la cérémonie organisée à l'occasion de la Journée internationale de la femme. La cérémonie présidée par le général Ahmed Toufik Mâamri, directeur des unités constituées de la gendarmerie, et assisté par plusieurs cadres du commandement, a été l'occasion pour cette institution d'honorer quelques femmes actives dans différents secteurs. Il s'agit pour la famille de la presse de la doyenne et seule patronne d'un journal indépendant, Mme Hadda Hezzam, directrice du quotidien arabophone El-Fadjr, également honorée pour la même occasion avant-hier par le DGSN. Parmi les journalistes, on note Nouara Bachouche du journal Echchrouk Elyaoumi pour les journalistes de la presse écrite arabophone, Linda Louifi du quotidien Le Jeune Indépendant qui a représenté la presse écrite francophone et Farida Belkessam pour la télévision algérienne. Ont été, également, distinguées une femme gendarme, une employée civile à la gendarmerie, une femme médecin de l'hôpital de Zéralda et une enseignante de l'université d'Alger. Dans une allocution prononcée à cette occasion, le responsable de la communication de la gendarmerie, le lieutenant-colonel Abdelhamid Kerroud, a rendu hommage à la femme algérienne à travers son parcours historique et actuel et son rôle primordial dans l'édification du pays en général et au sein de la gendarmerie en particulier. Dans ce corps de sécurité, il y a lieu de noter que la femme a enregistré des résultats positifs que ce soit au niveau des unités territoriales, aux écoles de formation de la gendarmerie, aux services technique et administratif ou au niveau des laboratoires spécialisés de l'institut de criminologie et de criminalistique.