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Pour la stabilité de l'économie
Publié dans La Nouvelle République le 23 - 04 - 2012

En faisant la promotion de son livre traitant de la «transition de l'économie émergente», Abdelhamid Temmar, ministre de la Prospective et des Statisques, s'etait rendu dimanche à Blida où il avait affirmé que la stabilité est le garant du processus du développement économique d'un pays.
Invité par la faculté des sciences de l'université de Saad- Dahleb de Blida, le ministre a entamé sa conférence devant de nombreux professeurs, enseignants et étudiants, sur la complexité de l'économie algérienne pour dire «il est difficile de gérer l'économie algérienne». «Contrairement à nos voisins, la mise en œuvre et l'application du processus économique est difficile en Algérie», a déclaré M. Temmar, après avoir relaté le passage de l'économie de l'ère du socialisme au libéralisme. A ce sujet, il a précisé que notre économie actuelle, n'est ni libérale, ni socialiste, elle a un schéma de Kenesie puis il ajoutera que l'économie algérienne est entre l'histoire du socialisme qui n'arrive pas à partir et un libéralisme qui trouve des difficultés à se positionner. «L'économie est un problème d'institution», note le ministre qui évoque le cas de la Turquie, un pays qui, pour lui, a su relever le défi économique en un temps record. Tout au long de sa longue intervention, il soulignera que l'histoire a démontré que finalement la notion d'indépendance économique quand elle est prise comme une stratégie de développement complète, devient un mythe. Il s'est même interrogé sur la place de l'Algérie en notant la place que des pays tels que le Brésil, la Corée, l'Afrique du Sud, l'Inde et d'autres pays du Sud, ont pu trouver, avant de montrer son mécontentement à propos de la lenteur de l'adhésion de l'Algérie à l'UE et l'OMC. De l'avis du ministre, l'Algérie est en train de traiter avec cette organisation mondiale, alors qu'il y a lieu d'avancer dans le processus de l'adhésion tout en négociant. Encourageant toujours l'investissement et le partenariat avec les firmes étrangers pour acquérir un savoir-faire, Temmar donne l'exemple de la Chine qui, au début de l'ouverture de son économie avait accepté sans condition tout investissement dans son pays mais après avoir acquis le savoir-faire et la technologie à orienter sa politique pour la sélection des investissements étrangers. La maîtrise technologique requiert que tout le processus, soit correctement et complètement maîtrisé, précise M. Temmar en ajoutant que l'innovation et la technologie constituent la frontière entre les pays du nord et du sud. Répondant à une question sur le marché algérien qui est qualifié de marché de bazar, le ministre a tenu à préciser que «le marché algérien est trop bien structuré». Il appelle à l'allégement du code de l'investissement, qu'il qualifie de trop lourd. «Pour investir, il faut passer par le Conseil national d'investissement, le Conseil des ministres et le Conseil d'Etat. Tout ce parcours est long, estime le ministre qui, pour lui, l'Algérie devait avoir une politique volontaire de développement.

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