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Un peu parano, non ?
Publié dans La Nouvelle République le 02 - 05 - 2013

Apparemment, les attentats semblent devenir une mode ou plutôt un modus operandi rentable. Ces dernières semaines nous avons assisté à trois attentats : à Boston, à Tripoli et au ...Canada. Mais, diantre, y aurait-il des fous qui se sont échappés des asiles ?
C'est ce qu'on tente de nous dire à travers les montages orchestrés çà et là. D'après les explications, les auteurs seraient des fanatiques. A Boston, à Tripoli ou au Canada, ce serait des « fous ». Mais c'est être quand même un peu parano pour avaler ces bobards ; dans la mesure où en apparence, les auteurs ne pourraient tirer aucun avantage militaire ou politique. Trois historiettes de grand-mère A travers ces trois attentats, ce qui renforce l'incrédulité, c'est cette impression de déjà-vu, cet intérêt des autorités politiques à se présenter comme les victimes. Première historiette : Au vu des mesures prises, l'attentat de Boston aura à coup sûr une incidence intérieure, car, en quelques heures, toute une ville est bloquée par le FBI, et les libertés publiques suspendues. Après les premières suspicions portées sur des Arabes, c'est l'heure de la certitude : cet attentat aurait été commis par des Tchétchènes. C'est assez original : deux jeunes hommes auraient fait des milliers de kilomètres depuis leur Tchétchénie natale pour poser deux bombes à l'arrivée du marathon de Boston. Preuves matérielles : ils sont photographiés dans la foule. Et puis, c'est l'heure du film en question : la police tire des centaines de cartouches, en tue un et blesse le second au point qu'il perd l'usage de la parole. Il est alors entendu par la police en l'absence d'avocat. Ces déclarations sont bien entendu transmises par la police ! Les Etasuniens se découvrent donc des ennemis tchétchènes. Et qui donc aurait des problèmes avec la Tchétchénie ? Mais la Russie, bien sûr ! Des choses comme ça, ça rapproche ! Seconde historiette : Pour ce qui s'est passé à Tripoli, on nous rabâche « qu'à un quart d'heure près, ça aurait été un massacre ». Il faut donc imaginer que ces terroristes-là agissent sans but, et qu'en plus, ils ne savent pas lire l'heure ! Par contre, le gouvernement français sait, lui, en tirer parti : la « lutte contre le terrorisme » serait une réalité qui justifie tous les actes de l'équipe gouvernante. Troisième historiette : Le presque attentat du Canada est franchement rigolo ! La police aurait démantelé un réseau terroriste d'Al-Qaïda qui aurait été financé par l'Iran ! Ce n'importe quoi lui a permis quand même de renforcer ses lois anti-terroristes : la suspension des libertés publiques est à l'ordre du jour. Tout est bien qui finit « bien » On ne peut donc pas exclure que ces attentats aient eu lieu « sous fausse bannière », à usage interne, cherchant à justifier, auprès des populations concernées, les politiques de régression et d'agression menées par les Etats-Unis et leurs auxiliaires français et canadiens.

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