Deux importants projets, le parc d'attractions et des loisirs, et la fameuse piscine olympique qui ont enregistré un record national au volet du retard, si le premier livré à lui-même , le second est depuis 30 années sur cale. A l'abandon depuis deux décennies, le parc d'attractions et de loisirs de la ville de Tiaret sera enfin retapé, a annoncé le nouveau wali Bentouati Abd Salem, en marge de sa première visite depuis son installation à la tête de la wilaya. Ce parc est l'un des importants lieux de détente implanté sur un beau milieu en plein cœur de la forêt des pins sur les hauteurs de la capitale rostomide. Une enveloppe de 15 milliards de centimes dégagée pour le renouvellement des manèges et un lot des équipements de jeux. Selon la fiche technique cinq opérations sont inscrites au programme de la première tranche qui touche 9 sur les 42 hectares. Le premier responsable de la wilaya a instruit les responsables concernés par sa réhabilitation afin d'accélérer la cadence des travaux et lancer le second projet concernant des terrains pour les athlètes de la région et un Zoo. Avant son exploitation par la commune, le parc a été confié à un privé qui a mis la clé sous le paillasson et depuis il est devenu un lieu abandonné, au bonheur de la ferraille. Le wali a également donné des instructions pour clôturer les opérations avant la fin de l'année avec la création d'une panoplie de lieux de détente pour les familles tiaretiennes et celles des wilayas avoisinantes. Pour faire de ce parc un espace de loisirs et de divertissements, avec la création de 100 emplois, l''installation trois unités à proximité (police – protection civile – conservation des forêts), telles sont les mesures du nouveau wali. La seconde étape a conduit la délégation au fameux projet de la piscine olympique datant de plus de 30 ans, sise au centre de la ville de Tiaret, ce qui a retenu l'attention du premier responsable de la wilaya aux dernières mesures prises pour livrer ce chantier à therme. Un projet à la traîne depuis trois décennies dont des milliers de dinars gaspillés pour le fameux gouffre de quelques mètres. Selon les experts le montant est équivalent à la réalisation d'une des meilleures cités à Tiaret.