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Commerçants spéculateurs durant le ramadan
Publié dans La Nouvelle République le 03 - 03 - 2017

Le ministre de l'Habitat, de l'Urbanisme, de la Ville et ministre du Commerce par intérim, Abdelmadjid Tebboune, a affirmé jeudi dernier à Alger que «des mesures répressives rigoureuses seraient prises contre les commerçants spéculateurs durant le mois de ramadan».
Répondant aux journalistes en marge de la séance consacrée aux questions orales au Conseil de la nation, le ministre a précisé que des mesures répressives seraient prises contre les commerçants qui exerceraient la spéculation sur les produits de large consommation. Tebboune a précisé que «la disponibilité des produits est une question qui relève du ministère de l'Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, tandis que les mesures de contrôle ordinaires, d'approvisionnement et de contrôle du marché relèvent des prérogatives du ministère du Commerce». S'agissant de l'impact de certains facteurs sur l'offre et la demande, le ministre a souligné que «le gouvernement interviendrait en cas de problèmes liés à un déséquilibre entre l'offre et la demande».
Lancement d'une étude sur l'économie informelle
Le ministère du Commerce a lancé, jeudi à Alger, une étude sur l'économie informelle en Algérie en partenariat avec le Centre de recherche en économie appliquée pour le développement (Cread) avec l'appui du Programme des Nations unies pour le développement (Pnud). Intitulée «Economie informelle : concepts, modes opératoires et impacts», cette étude permettra de mieux connaître l'économie informelle dans ses différentes dimensions (financement, production, commercialisation, emploi), de cerner et de quantifier son impact sur l'économie nationale afin d'élaborer une stratégie adéquate pour lutter contre ce phénomène», a-t-on expliqué lors de l'atelier consacré au lancement de cette étude. Le lancement de cette étude est «l'entame d'une réflexion objective et profonde autour de la problématique de l'informel qui a pris des proportions alarmantes sur la sphère économique nationale», a affirmé le ministre de l'Habitat, de l'urbanisme et de la Ville et ministre du Commerce par intérim, Abdelmadjid Tebboune, dans une allocution lue en son nom par le directeur général de la régulation et de l'organisation des activités au ministère du Commerce, Abdelaziz Aït Abderrahmane. L'économie informelle, selon lui, «est considérée comme un obstacle majeur pour la promotion de la production nationale dans le processus de la diversification économique amorcé par le gouvernement, qui représente une option fondamentale du développement du pays», a-t-il ajouté. Mais les mesures prises demeurent insuffisantes, et c'est pour cette raison que le ministère a adopté une approche participative et inclusive à l'effet d'élargir le débat autour de cette problématique, et ce, «pour permettre de faire émerger des solutions opérationnelles pour le traitement de ce fléau», a expliqué le ministre. La mise en œuvre de cette étude s'effectuera en deux phases : la première consiste à l'élaboration d'une enquête dans la wilaya de Tlemcen en 2017, choisie comme wilaya pilote, dont la réalisation et le financement seront assurés par le Cread. La seconde phase sera, quant à elle, consacrée à l'élaboration d'une enquête nationale en 2018 dont les aspects liés au financement et à l'expertise seront à la charge du Pnud. A ce propos, le directeur du projet et chercheur au Cread, Mounir Lassassi, a expliqué que l'étude consistait à l'analyse de l'économie informelle, qui sera fondée sur des enquêtes sur le terrain. Selon lui, il s'agit d'abord d'estimer la taille de ce secteur et d'améliorer la connaissance de l'économie informelle, en collectant les données nécessaires à son analyse pour mettre en œuvre des politiques adaptées à même de lutter contre ce phénomène. L'étude vise également à identifier les caractéristiques saillantes des actifs informels et les branches d'activités concernées pour appuyer la mise en œuvre d'outils assurant l'opérationnalisation de la stratégie de lutte contre l'économie informelle. Elle sera aussi un moyen pour analyser la mobilité des actifs informels, élaborer un diagnostic et proposer des recommandations pour éclairer les décisions des autorités.


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