Après avoir été annoncée en grande pompe à maintes reprises devant les délégations gouvernementale et considéré comme étant l'un des projets du siècle à Tiaret , l'infrastructure hospitalière de la région du Sersou qui partage ses frontières est apparemment loin de voir le jour que les mensonges et les promesses non tenues qui ont conduit les fausses déclarations entre le DSP et le wali de la wilaya de Tiaret. Le projet est actuellement sur cale et les problèmes à la pelle serait même remis en cause selon certaines sources proches du dossier. Selon des informations obtenues par des spécialistes une panoplie d'obstacles, des négociations avec les gynécologues privés afin de les encourager vu le transfert des patientes du lit des maternités vers l'autre coin reculé «marché conclu oblige», les nouveaux équipements médicaux emballés au bonheur de la ferraille exposés tout au long de l'année, aucun suivi de la part de la Direction de la santé et de la population. Ajoutent les mêmes sources depuis le lancement du projet en 2012 pour un délai de 36 mois est actuellement une infrastructure dans l'air dont les lots ont été suspendus sans explications. Contre toute attente, le projet «complexe mères et enfants n'a pu voir le jour, avorté pour cause d'insuffisance et manque d'expérience de certains responsables loin du secteur qui ont réussi à feinter le Premier ministre et son ministre à maintes reprise même le wali de la wilaya de Tiaret». La nouvelle infrastructure hospitalière réalisée par une enveloppe colossale n'est que l'ombre d'elle-mémé dont les bordereaux quotidiens de l'avancement transmises restent loin de la réalité. Peut-être que ce genre de mensonges et fausses promesses requerraient plus de rigueur et de temps, ou serait-ce tout simplement à cause de l'inexpérience des responsables dans le domaine. Cela nous pousse à nous demander si en fait la réussite ne requerrait pas que du travail et des idées malgré les visites de l'ex-Premier ministre Sellal et le représentant du gouvernement Boudiaf. Mais en réalité, parfois pour réussir il faut d'abord échouer, car il vaut mieux reculer pour mieux sauter. Nous venons d'apprendre de sources fiables que les cadres de la santé à leur tête le directeur ont décidé de transférer les patients au complexe mères et enfants le 5 juillet dernier pour marquer l'événement mais le lieu n'est qu'un projet mort-né suite à une requête envoyée au premier responsable de la wilaya, ce qui a été annulé purement et simplement. Nous confirme une source locale sur la panoplie des entraves et obstacles, les ascenseurs à l'arrêt, l'énergie électrique non encore alimenté, les robinets à sec dont le plus grave les blocs opératoires non encore équipés s'ajoutent les nouveaux lots des équipements emballés et exposé au soleil pour ne pas dire au «bonheur de la ferraille». Ni oxygène, ni liquide précieux ni climatisation selon certaines sources les installations n'ont pas encore trouvé le chemin vers les couloirs abandonnés depuis quatre années. A chaque rétrogradation d'un club, on accuse l'homme noire mais la vérité d'infliger un carton rouge pour les blouses blanches en promenade libre qui veulent mener nos patientes au couloir de la mort sur ordre des responsables à la tête d'un secteur sinistré qui a besoin d'une thérapie de choc. il est utile de rappeler que la nouvelle polyclinique de Takhemaret n'a été opérationnelle que 6 heures après la date annoncée par le DSP, et de même aux communes lointaines au nord de Tiaret qui n'est pas prête à offrir les prestations exigées par les normes a été inaugurée quelques minuties avant d'être cadenassée après le départ de la délégation. Des maternités sans sage-femmes, des hôpitaux transformés aux dortoirs, des équipements de la radiologie en panne, des stocks énormes périmés. Même le parc roulant est transféré au parc de la ferraille dont le plus grave le centre de dialyse alimenté par des citernes pour les machines des patients dont le plus grave la restauration est assuré par des bienfaiteurs. Pour rappel, un dossier volumineux comme une armoire est transmis à la tutelle sur la situation du secteur : des milliards gaspillés, des infrastructures à l'arrêt, des créances estimées le double du budget, des infrastructures sans gardes et une inspection toujours en vacances. Certainement les anomalies enregistrées feront un boom au siège de la DSP et selon une source proche, les jours du DSP et ses conseillers sont déjà comptés.