La visite effectuée par le tout nouveau ministre du Tourisme dans la wilaya de Mascara, aura a l'évidence par des moyens tangibles de solutionner des problèmes des potentialités sous exploités dont véhicule la wilaya en matière d'infrastructures touristiques... Mais le problème dans la wilaya de Mascara est autre. L'évolution du secteur du tourisme dans la wilaya de Mascara obéit à des actions d'envergure susceptibles de charmer les curistes et les touristes de masse (nationaux). Les sites historiques ne manquent pas dans la région, mais l'état du désintéressement absolue où ils s'échangent à l'heure où nous mettons sous presse, ne peut encourager de telles initiatives, ou parait-il, les responsables ont d'autres chats à fouetter. Dans ce volet, il parait, que des lignes visent à retoucher les erreurs commises par un passée récent, sont en voie de se concrétisation, et ce, en dépit de certains blocages et autres bricolages enregistrés dans ce secteur ou la volonté et le fond manque le plus, pour mettre fins a ces potentialités sous exploitées. Dans le même ordre d'idées, la direction du tourisme de la wilaya de Mascara, qui ne communique pas avec une certaine presse, et ce, à tous les niveaux, a parait-il, fait des offres par le canal d'une énumération faisant découler les différents opérations susceptibles d'être concrétisées dans le cadre des différents programmes national, sectoriel ou sur fonds de wilaya. Nonobstant ne sont maintenues que celles qui revêtent un cachet distinctif ou sous le poinçon de l'impératif. Les potentialités touristiques existent dans la région de Béni-Chougrane mais sont sous exploitées, car, peu ou proue, ce secteur était relégué au second plan. Des projets rejetés à tous les niveaux ou le peu d'impact que la réalisation de ces projets aura sur la région, et dont les plus informés se sont rétractés pour voir dans d'autres wilayas pour un investissement plus sûr. A cet effet, les plus avertis formulent la nécessité d'un maximum de projets pour ne profiter finalement que d'un minimum d'opérations. Pourtant le secteur du tourisme est générateur d'emplois et de source de revenus non négligeables pour peu que les concours nécessaires soient cohérents via des responsables ayant pouvoir de décision. L'affaire des 1,25 milliard de dinars soit 125 milliards de centimes, qui nichent dans la caisse de l'entreprise de gestion touristique de Tlemcen par abréviation «EGTT», depuis un certain temps, et ce, pour la mise à niveau des structures de la station thermale de Sidi-Bouhanifia sise dans la wilaya de Mascara, classée au rouge dans l'économie locale demeure la plus faible vu les tergiversations enregistrées. Le développement touristique à la traine, et ce, bien que la station thermale de Sidi Bouhanifia enregistre une affluence nombreuse de plus en plus bénéfique pour hisser cette ville des eaux a son enseigne d'antan. Il y a lieu de souligner que la plupart des curistes et autres personnes rencontrés à Sidi Bouhanifia sont unanimes pour déclarer en ces termes : « Nous venons dans la ville des eaux thermales pas pour le tourisme, car il n'y a rien à voir, mais pour profiter des bienfaits des eaux thermales efficaces pour le traitement de patentes maladies.» «Dans la wilaya de Mascara, plus précisément dans la ville des eaux de Sidi-Bouhanifia, le secteur du tourisme est victime de ses dirigeant qui chapeautent à distance a partir de la direction générale de Tlemcen, ou le secteur dans la station thermale est sous exploité à outrance.» Nous avons pour souvenance, exactement le 31/12/2012, l'ancien wali, M.Ouled Salah Zitouni qui n'a rien laissé au hasard, le tout encadré par des articles et des lois, en passant par des textes en vigueur en matière de passation des marchés publics a carrément mis en garde le directeur général de l'entreprise de gestion touristique sur les retombées des retards accumulées dans ce contexte et ce malgré la manne financière de l'Etat providence qui a misé sur ce projet durable et la masse monétaire se trouve dans la caisse de cette entreprise. Dans le même rang, l'ex wali a émis le vœux en direction des véritables investisseurs a conquérir le marché du tourisme dans la wilaya de Mascara, notamment a la station thermale ou beaucoup restent a faire et parfaire. Dans ce contexte des plus inexpliqués, ou selon des informations qui circulent au compte goutte au niveau de la station thermale de Sidi Bouhanifia sur ces dépréciations ou plutôt cette déchéance administrative pointé du doigt par l'ex- wali, et dont malheureusement, nous n'avons aucun document sur cette affaire pour clarifier et donner une véritable information a notre lectorat. Plus loin, l'ancien premier responsable de la wilaya n'a pas mâché ses mots en mettant a nu les carences de la gestion au ralenti de la station médicalisé a partir des sources thermales «d'Aqua Sirens» découlant des ruines Romaine de Hammam Bouhanifia omniprésentes sur long de l'Oued ,via des responsables peu ou proue exigeants des contributions a un nouvelle ordre des ensembles citées dans ce contexte des plus déplorables. En effet, le tourisme dans la wilaya de Mascara est victime de ses responsables via la tentaculaire toile d'araignée de la l'Egtt-Tlemcen il est impossible de contrôler tout et tous ce répugnant manège qui n'honore nullement l'administration miné par tant de dérives, et dont notre pays souffre excessivement .En vain...Depuis le départ de M.Ouled Salah Zitouni de la wilaya de Mascara, aucun autre commis de l'Etat qui ont foulés le sol de ce département n'a eu le courage de prendre le taureau par les cornes pour faire séparer le bon grain de l'ivraie, dans un secteur ou il y a beaucoup à boire et à manger. Revenons aux choses serieuses, revenons à Casanova hier, Mascara aujourd'hui, la capitale de l'Emir Abdelkader peut s'enorgueillir de disposer de la ville thermale de Sidi Bouhanifia ou «Aquae –Sirenses» qui illustre le tourisme de masse par excellence, par un nombre impressionnant de visiteurs et curistes, qui y séjournent annuellement. En effet, avec des hôtels et particulièrement ses eaux thermales, Sidi -Bouhanifia demeure la ville des eaux qui abrite la plus grande affluence de visiteurs, où une grande totalité fiduciaire circule a l'intérieure de la daïra. Ces dépenses sont effectuées par l'hébergement, la restauration, les soins, les cures, les excursions et divers autres commerces, à la grande satisfaction de la population ciblée, qui tire sa part de ce business, directement ou indirectement. On évoquera dans ce passage, que le chef lieu de la daïra de Sidi-Bouhanifia ne recèle sur son territoire d'aucunes banques, sauf d'une petite poste qui ne peut contenir tous ce beau monde, qui d'ailleurs sont obliger de s'orienter vers le chef lieu de la wilaya ou carrément a Sidi-Bel-Abbès pour retirer l'argent. Avec ses 52 hôtels totalisant 12O5 chambres pour 2382 lits, dans un piteux etat, la ville des eaux dispose de l'essentiel du potentiel en infrastructures touristiques de la wilaya de Mascara, à l'exception du chef lieu qui accuse un déficit important en infrastructures hôtelières. L'état des hôtels en question, sont pour la plupart lamentables , ou le minium d'hygiène reste a desirer,des cafards, rats et autres bestioles rampantes sont légions au niveau de cette ville des eaux, qui soulignons-le,a perdu beaucoup de ses «étoiles»,et ce a partir des années 92,ou des hôteliers ont carrément retourner la veste pour des considérations «financières» pour en faire des motels ou plutôt des «dortoirs» de passe pour les deux sexes. Au niveau du chef lieu de la wilaya, les cinq hôtels ou plutôt Motels actuellement en activités sont au même titre que ceux de la cité des eaux, le plateau de la restauration est une autre paire de manche. Du n'importe quoi pourvu que ca mousse.est indéniablement absent, ou le service minimum pour satisfaire les clients demeurent dépouillées de sa véritable notion du savoir-faire dans le tourisme de chez nous, où beaucoup, reste à faire dans ce domaine vouée aux échecs via des mentalités rigides qui coincent les bonnes initiatives des uns et des autres. Dans ce contexte déplorable, c'est incompréhensible, car les préoccupations sont là, aussi où «l'environnement» dans la daïra de Sidi-Bouhanifia n'est plus révérée par des hôteliers irrespectueux des lois de la république, quand on nous fera savoir, d'ailleurs, ce qui est visible à l' œil nu ,ou ces derniers épandent les eaux usées provenant de leurs hôtels directement dans l'Oued-Bouhanifia, ce qui a procrée en sorte, des odeurs nauséabondes le long du Oued, et spécialement sous le pont de la ville des eaux ou les curistes et autres touristes sont enclins de se boucher le nez pour pas inhaler des émanations qui perdurent durant toute l'année, spécialement la saison estivale, sans que les responsables au niveau local y compris par ceux concernées par l'environnement ne font convenablement leur travail ; afin de sensibiliser les récalcitrants pour de réprimer après, ces actes condamnables. Dans un autre contexte, il y a lieu de mentionner, que la ville des eaux manque considérablement de toilettes publiques pour les deux sexes, et on est sidéré de voir des espaces d'urinoirs a ciel ouvert, qui se développent au vu et su des responsables concernées par ce problème de salubrité publique. La saleté qui se propage comme une trainée de poudre a travers l'oued Bouhanifia, et ce, dans les deux sens a dénaturé ce sceau de la villégiature, pareillement l'indifférence des uns et des autres, a vu la ville obstruer dans des histoires de dépotoir à ciel ouvert, indigne des villes touristiques qui se respectent. A l'heure actuelle, les opportunités d'investissement en matière d'hôtellerie de différents standings et de différentes catégories demeurent le parent pauvre du tourisme dans la wilaya de Mascara. En outre d'autres potentialités permettent le développement, à l'exemple du site archéologique Romain communément appelée «Alamiliaria», sise dans la daïra de Benian au lieu dit «Merdja»,distant environ une quarantaine de kilomètres du chef lieu, ou une série de caveaux funéraires ont été fouillées ou la tombe d'un ancien cavalier de «l'ala –miliara» aurait été découvert par un certain Mr Rouzier instituteur a Tizi-Ouzou durant l'époque coloniale. Actuellement le site se trouve dans un état d'abandon où la main de l'homme et la nature ont fait les restes de cette amnésie .Le site préhistorique de «l'homme de Palikao» sise dans la daïra de Tighennif, ainsi que les édifices et les emplacements qui dessinent l'Etat moderne de l'émir Abdelkader, sont des occasions qui sont très mal exploitées afin des les enseigner dans le cadre du tourisme pédagogique et instructif à l'endroit des étudiants, chercheurs et sommités avérés. Le tourisme en Algérie est victime de ses responsables ! Ces chimériques visites ministérielles énormément couteuses en ces temps d'austérités riment à quoi, et que de qui se moque-t-on ?