Je viens par la présente lettre vous exposer ma situation délicate mais qui pourra par votre excellence pouvoir trouver une issue équitable par votre appui et soutien. Je vais vous détailler ma situation comme suit : Je suis la veuve de Monsieur TIMIZAR Abderrahmane né le 13/04/1962 « Directeur du journal électronique « Med infos » journaliste également sous l'aile de la Présidence de la République Démocratique et Populaire » décédé d'un arrêt cardiaque le 16/03/2024. Nous nous sommes mariés le 26 juin 2009 et mère d'un enfant de 12 ans et femme au foyer. En mai 2022, dès l'attribution des clefs du logement social, mon mari, mon fils et moi avons occupé les lieux. un chalet lui a été attribué en tant que sinistré lors du séisme de 2003, mais ne pouvant le garder en son nom, il avait proposé à sa sœur de le mettre par procuration pour juste une couverture périodique puisqu'il ne pouvait pas obtenir un second logement social (vu que sa première épouse l'occupait avec ses enfants jusqu'à ce qu'il puisse le régulariser en son nom dès l'obtention de ce dit logement. Malheureusement, Dieu en a décidé autrement et il n'a pu terminer sa démarche puisqu'il est décédé avant de finir la paperasse pour la régularisation de cet appartement. Pour ajouter à ma peine et à mon désespoir depuis le départ mon défunt mari ma belle-sœur TIMIZAR Zahia, âgée de 74 ans m'a attaquée en justice pour que le procureur ne m'avait pas convoquée pour entendre mes dires, parce que cette dernière n'a pas répondu qu'elle occupait ce logement alors que cette déclaration n'est qu'une déclaration mensongère puisque l'huissier de justice ainsi que la brigade de la Gendarmerie ont fait une enquête et ont signalé que ma belle-sœur n'avait jamais occupé l'appartement avec le témoignage de plusieurs voisins résidant dans le même immeuble. Monsieur le président de la République, je me retrouve avec mon fils âgé de 12 ans déjà très perturbé depuis la disparition subite de son père et ma confrontée à quitter mon appartement avec un délai de dix jours. Cet acharnement dure déjà depuis trois mois et demi. Je sais pertinemment que la loi de notre pays ne permet pas que qu'une veuve bénéficie d'un logement social et je ne peux pas non plus me permettre d'avoir un logement AADL ou LCP ou LPP sachant que je suis une femme au foyer sans ressource financière. Monsieur le président, je vous implore de m'aider à obtenir un logement digne d'une veuve algérienne qui a été l'épouse de Mr TIMIZAR, un homme loyal, juste, brave dévoué à sa patrie et aimant son pays d'une manière inconmesurable et a mené à bien sa responsabilité en tant que journaliste dans de bonnes conditions morales et professionnelles afin de soulever et rehausser notre chère ALGERIE. Je vous prie, Monsieur le président de la République, j'attends de Votre Excellence votre sens de justice et d'équité et de transparence que vous porterez à mon appel, Vous êtes mon dernier espoir. En vous remerciant d'avance pour l'aide que vous porterez à ma demande, veuillez croire, Votre Excellence, Monsieur le Président, en l'expression de mon profond respect. Qu'Allah vous protège et vous garde pour notre pays. Gloire à nos valeureux martyrs. Madame Veuve TIMIZAR Fairouz née BENCHENNAF Avenue du 1er Novembre