‹‹«La perte de l'ensoleillement est un préjudice que l'on peut subir lorsqu'une nouvelle construction est proche de notre demeure. Tout comme la perte d'intimité, ou la perte de vue. Il s'agit d'un trouble de jouissance qui peut être considéré comme un trouble anormal de voisinage». Blida est malade de son urbanisme. L'anarchie et le mauvais goût qui affectent pratiquement tous les maillons de l'aménagement urbain et de la construction, n'aident pas les pouvoirs publics à faire respecter les lois de la république qui sont bafouées. Le pillage des réserves foncières et l'extension anarchique des tissus urbains qui s'étaient exacerbés ces dernières années, ont porté à l'évidence un coup fatal à la rigueur urbanistique et surtout à l'esthétique de la ville de Blida. Certains audacieux qui osent bafouer la loi, en construisant des «des buildings» au vu et au su de tout le monde, cela sans qu'ils soient inquiétés en raison des préjudices qui peuvent en découler. Face à cette situation d'impunité, des habitants de divers quartiers de la ville de Blida et en particulier le quartier bab ezzaouia , la reu dalger et bab kheouikha où des dizaines de tours ont été réalisées et d'autres en cours. Ce phénomène prend de plus en plus de l'ampleur. Blida est devenue un grand chantier des tours, la majorité des assiettes récupérées aux promoteurs immobiliers se sont transformées en un laps de temps en tours défigurant l'image architecturale et esthétique de la ville. Ces immeubles montés en longueur font beaucoup d'ombre aux habitations mitoyennes, plusieurs questions restent posées Sur quelles bases sont délivrés les permis de construire ? La construction en hauteur a complètement fragilisé un tissu urbain horizontal dont la spécificité est complètement ignorée. Justifier par la volonté de rentabiliser un foncier considéré très cher, la construction au coup par coup de ces bâtiments, sans vue d'ensemble ni plan d'aménagement, a des conséquences néfastes sur le paysage de la ville et transforme la composition sociale de ses quartiers. Blida vit depuis une 4 d'années, une transformation de son paysage urbain, suite à la réalisation de plusieurs immeubles de grande hauteur. Ce n'est pas la grande hauteur qui est contestée, c'est son incursion dans un tissu qui n'a pas été prévu pour elle. Une hauteur bien réfléchie dans un nouveau quartier n'aurait pas été refusée. «La perte de l'ensoleillement est un préjudice que l'on peut subir lorsqu'une nouvelle construction est proche de notre demeure. Tout comme la perte d'intimité, ou la perte de vue. Il s'agit d'un trouble de jouissance qui peut être considéré comme un trouble anormal de voisinage». Oran est malade de son urbanisme. L'anarchie et le mauvais goût qui affectent pratiquement tous les maillons de l'aménagement urbain et de la construction, n'aident pas les pouvoirs publics à faire respecter les lois de la république qui sont bafouées. Le pillage des réserves foncières et l'extension anarchique des tissus urbains qui s'étaient exacerbés ces dernières années, ont porté à l'évidence un coup fatal à la rigueur urbanistique et surtout à l'esthétique de la ville d'Oran. Certains audacieux qui osent bafouer la loi, en construisant des «tours» au vu et au su de tout le monde, cela sans qu'ils soient inquiétés en raison des préjudices qui peuvent en découler. Face à cette situation d'impunité, des habitants de divers quartiers de la ville d'Oran et en particulier le quartier d'Oussama (Ex-Boulanger) où des dizaines de tours ont été réalisées et d'autres en cours. Ce phénomène prend de plus en plus de l'ampleur. El Bahia est devenue un grand chantier des tours, la majorité des assiettes récupérées aux promoteurs immobiliers se sont transformées en un laps de temps en tours défigurant l'image architecturale et esthétique de la ville. Ces immeubles montés en longueur font beaucoup d'ombre aux habitations mitoyennes, plusieurs questions restent posées : comment sont attribués ces terrains ? Sur quelles bases sont délivrés les permis de construire ? La construction en hauteur a complètement fragilisé un tissu urbain horizontal dont la spécificité est complètement ignorée. Justifier par la volonté de rentabiliser un foncier considéré très cher, la construction au coup par coup de ces bâtiments, sans vue d'ensemble ni plan d'aménagement, a des conséquences néfastes sur le paysage de la ville et transforme la composition sociale de ses quartiers. Oran vit depuis une vingtaine d'années, une transformation de son paysage urbain, suite à la réalisation de plusieurs immeubles de grande hauteur. Ce n'est pas la grande hauteur qui est contestée, c'est son incursion dans un tissu qui n'a pas été prévu pour elle. Une hauteur bien réfléchie dans un nouveau quartier n'aurait pas été refusée. «La perte de l'ensoleillement est un préjudice que l'on peut subir lorsqu'une nouvelle construction est proche de notre demeure. Tout comme la perte d'intimité, ou la perte de vue. Il s'agit d'un trouble de jouissance qui peut être considéré comme un trouble anormal de voisinage». Oran est malade de son urbanisme. L'anarchie et le mauvais goût qui affectent pratiquement tous les maillons de l'aménagement urbain et de la construction, n'aident pas les pouvoirs publics à faire respecter les lois de la république qui sont bafouées. Le pillage des réserves foncières et l'extension anarchique des tissus urbains qui s'étaient exacerbés ces dernières années, ont porté à l'évidence un coup fatal à la rigueur urbanistique et surtout à l'esthétique de la ville d'Oran. Certains audacieux qui osent bafouer la loi, en construisant des «tours» au vu et au su de tout le monde, cela sans qu'ils soient inquiétés en raison des préjudices qui peuvent en découler. Face à cette situation d'impunité, des habitants de divers quartiers de la ville d'Oran et en particulier le quartier d'Oussama (Ex-Boulanger) où des dizaines de tours ont été réalisées et d'autres en cours. Ce phénomène prend de plus en plus de l'ampleur. El Bahia est devenue un grand chantier des tours, la majorité des assiettes récupérées aux promoteurs immobiliers se sont transformées en un laps de temps en tours défigurant l'image architecturale et esthétique de la ville. Ces immeubles montés en longueur font beaucoup d'ombre aux habitations mitoyennes, plusieurs questions restent posées : comment sont attribués ces terrains ? Sur quelles bases sont délivrés les permis de construire ? La construction en hauteur a complètement fragilisé un tissu urbain horizontal dont la spécificité est complètement ignorée. Justifier par la volonté de rentabiliser un foncier considéré très cher, la construction au coup par coup de ces bâtiments, sans vue d'ensemble ni plan d'aménagement, a des conséquences néfastes sur le paysage de la ville et transforme la composition sociale de ses quartiers. Oran vit depuis une vingtaine d'années, une transformation de son paysage urbain, suite à la réalisation de plusieurs immeubles de grande hauteur. Ce n'est pas la grande hauteur qui est contestée, c'est son incursion dans un tissu qui n'a pas été prévu pour elle. Une hauteur bien réfléchie dans un nouveau quartier n'aurait pas été refusée. Actuellement nous assistons à une grave infraction aux loi de l'urbanisme et de la construction des constructions ont été érigées dans quartiers résidentiel sans aucun respect du cahier des charges qui régit les quartiers résidentiel. Un promoteur à carrément violé les conditions du cahier des charges et du permis de construction délivré par l'APC : coefficient d'occupation de terrain à presque 100%. Construction d'un R+8 et une buanderie (cahier des charges R+3. Piétinement sur les trottoirs et appropriation de la voie publique. Ouverture de balcons de part et d'autre sur les deux voisins sans se procurer de leurs intimité. Cette construction a défigurée le plus quartier de Blida et la population est offusquée par l'immobilisme et le laisser aller des services concernés. Ces infractions ont été signalées par le collectif des résidents aux services de l'APC, de l'inspection de l'Urbanisme et de la daïra pour mettre un terme à ces travaux et normaliser cette situation. Ce promoteur prétend (selon ses dires ) qu'il cautionné et protège par des hauts responsables locaux à l'échelle de la wilaya de Blida. « Nous collectif des résidents commençant à croire à ses dires, sinon comment peut-on expliquer le fait que des plaintes déposées, sont restées sans suite ? ».