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Boughali dénonce et fustige le parlement européen et les cercles français Qualifiant leurs ingérences de « tentatives flagrantes de déstabilisation » :
En tentant de se montrer comme des donneurs de leçons et défenseurs des droits de l'homme et des libertés, certains cercles politiques et médiatiques français cachent mal leurs hostilités et leurs ingérences dans les affaires internes de l'Algérie. En face, l'Algérie, par la voix du président de l'Assemblée populaire nationale (APN), Brahim Boughali a fermement réagit en dénonçant ces actes agressifs, en fustigeant les auteurs, tout en rassurant l'avortement de toute tentative déstabilisatrice visant la souveraineté, la sécurité et la stabilité du pays. Dévoilant à ciel ouvert les complots de certains cercles politiques français soutenus par des canaux médiatiques, des marionnettes sous emprise, très bien connus pour leur hostilité classique contre l'Algérie, le président de l'Assemblée populaire nationale (APN), Brahim Boughali a fermement et hautement dénoncé et fustigé, avant-hier dimanche, l'ingérence de trop dans les affaires internes de l'Algérie, tout en accusant le parlement européen qui vient, à son tour, s'ingérer dans la politique intérieure de l'Algérie. Qualifiant, avant-hier, à travers un communiqué officiel rendu public par l'APN, l'ingérence du parlement européen et de certains cercles politiques français de « tentatives flagrantes de déstabilisation », écrit le même document, le président de l'Assemblée populaire nationale (APN) Brahim Boughali, a fait observer, à travers le même bulletin d'information, que ces esquisses manifestement flagrantes visent en réalité à « détourner l'attention des violations réelles des droits de l'Homme et du droit international dans d'autres régions du monde », a martelé le premier responsable et représentant des députés algériens. Exprimant ses préoccupations quant à la légitimité de ces ingérences extérieures, Brahim Boughali s'est interrogé, rapporte ledit communiqué, « sur ce qui reste des principes fondamentaux, tels que la séparation des pouvoirs et l'indépendance de la justice, dans les pays qui prétendent donner des leçons à l'Algérie, rappelant que l'Algérie est un Etat souverain et que son système judiciaire, sous l'autorité de la justice algérienne, assure la protection des droits et des libertés des citoyens », a fait savoir le président de l'Assemblée populaire nationale à travers le communiqué d'avant-hier. Il est très clair que l'Algérie n'acceptera jamais une ingérence dans ses affaires internes, d'autant plus qu'elle a déjà vécu de tels complots à l'époque de la décennie noire. Aujourd'hui, l'Algérie nouvelle est un Etat qui savoure pleinement sa souveraineté sous un système judiciaire protecteur des droits et des libertés des citoyens, contributeur à la modernisation, au développement et à l'accompagnement de l'économie nationale, le message du président de l'APN est nettement clair. Aussi, le président de la chambre basse du parlement a assuré et rassuré que « toute tentative de nuire à la sécurité et à la stabilité du pays serait fermement réprimée par les autorités compétentes, en référence aux actions légales que la justice algérienne pourrait entreprendre contre les éléments perturbateurs », lit-on dans ledit communiqué. Dans le même temps, Brahim Boughali a dénoncé l'agression sioniste en Palestine, qualifiant l'action sioniste de « barbarie ». Il a, par ailleurs, loué l'engagement de la diplomatie algérienne en soutien à la cause palestinienne et a réaffirmé la position intraitable et inchangeable de l'Algérie vis-à-vis de la cause sahraouie.