Hier seulement s'installait M. Bettouaf à la direction de l'hôpital Boudiaf de Relizane qu'il a tant bien que mal géré, en remplacement de M. Maamar, précipitant des chantiers de réhabilitation et de rénovation des structures d'un hôpital, qui ont tellement duré (une dizaine d'années au moins) que l'on confondait les ouvriers du chantier et les paramédicaux mais s'est employé sévèrement à remettre tout le monde au travail, réussissant à sortir des casiers de son administration et ceux de sa tutrice wilayale des bons d'équipements en «souffrance», des appareils de chauffage, scanners IRM, etc., mais a été stoppé net dans son élan par une permutation avec son collègue de Sidi Chahmi, qui a refusé de rejoindre, à une année de la retraite, son nouveau poste qui a été pourvu hier encore par M. Loukil, après une semaine de vacance de poste. On n'en compte plus les directeurs qui ont exercé à Relizane, notamment ces deux dernières années à un exercice qui s'apparente à une valse mal orchestrée consacrant une instabilité dirigeante aux conséquences néfastes.