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Laskri: La présidentielle de 2019 pas dans l'agenda du FFS
Publié dans Le Quotidien d'Oran le 25 - 04 - 2018

Ali Laskri, membre de l'instance présidentielle du Front des forces socialistes (FFS), fraîchement élu, a affirmé lors d'une conférence de presse, tenue hier au siège du parti, que «la crise dans notre pays est une crise de système et la solution ne vient pas d'une élection présidentielle en absence d'un Etat de droit».
Il a anticipé, avant que les journalistes lui posent la question, que l'agenda du parti FFS pour 2019 est centré sur l'organisation du 6ème congrès national ordinaire du parti dont la date n'a pas été encore fixée. M. Laskri a souligné en outre que «la date de la tenue de ce congrès prévue en 2019 n'est pas liée à la date des prochaines présidentielles». Pour lui, il est prématuré de donner la position du parti par rapport à cette l'élection présidentielle 2019. Et de préciser que «ce n'est pas encore inscrit dans l'agenda du FFS».
La priorité, selon Ali Laskri, est la reconstruction et la redynamisation des structures de base du plus vieux parti de l'opposition qui, faut-il le rappeler, a connu des « secousses » au sein de ses instances avant la tenue le 20 avril dernier du congrès national extraordinaire.
Le FFS doit veiller d'abord, selon le conférencier, «à restituer le parti à ses militants dans toutes les structures et dans son mode de fonctionnement». Pour corriger les dysfonctionnements, «nous procédons chaque fois que de besoin à un assainissement démocratique comme préconisé par notre feu président Hocine Aït Ahmed». Le conférencier a affirmé que la date du 6ème congrès national du FFS sera fixée quand toutes les conditions d'organisation seront réunies « Nous évaluerons d'ici la fin de cette année l'état d'exécution de la feuille de route que nous avons. Et nous préciserons alors en 2019 l'organisation de ce congrès», a-t-il mentionné. Pour Ali Laskri, l'élection de l'instance présidentielle (dont il est membre) du parti le 20 avril dernier, est «une nouvelle page de l'histoire du FFS». «Une réponse cinglante à ceux qui prédisaient l'implosion de notre parti». Bien que la discorde au sein du parti était interne, M. Laskri a affirmé que le parti de feu Hocine Aït Ahmed est sorti vainqueur de ce congrès et uni «face aux actions de déstabilisation, voire de division initiées, voire encouragées de l'extérieur visant à porter préjudices à l'image du parti ». Et d'affirmer qu'affaiblir le parti durant cette période, en véhiculant dans l'opinion l'image d'un FFS en crise, « est un objectif prioritaire pour le système afin d'empêcher le FFS d'accompagner politiquement les mouvements sociaux actuels et futurs à l'approche des élections présidentielles».
Ali Laskri a ouvert une parenthèse pour affirmer que le projet de loi sur la santé «est un projet libéral autoritaire» qui risque d'écraser les acquis sociaux fruits de lutte et de militantisme continus.
Confiant, Laskri affirme que son parti a pu déjouer les manœuvres médiatisées à travers une certaine presse et les réseaux sociaux, notamment celle qui nourrit l'intox, qui ont tout fait pour discréditer le parti.


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