Le tribunal criminel auprès de la cour d'Alger, a eu à se prononcer dans son audience du samedi dernier, à 20 de prison ferme et 50 millions de centimes comme réparation civile à la victime, à l'encontre d'un père incestueux pour viol sur sa fille mineure, qui a s'est constituée partie civile. A noter que l'audience s'est déroulée à huit clos. Dans l'enceinte du tribunal, la victime n'avait cessé de réciter « Hasbia Allah. Wa Niîma Elwakil ». Cette affaire a été jugé en seconde instance, après appel interjeté par l'accusé. A la barre, ce dernier nia tous les faits qui lui sont reprochés, et que toute cette mascarade selon lui, n'est qu'un montage, suite à la découverte par ses soins d'une liaison suspecte de sa femme. Et qu'il allait lui tendre une souricière tout en avisant les services de sécurité concernés, malheureusement, dira-t-il de victime il se retrouva inculpé. La victime a insisté sur le fait que c'est son père qui l'a agressée et violée en l'absence de sa mère, personne n'y était ce jour là selon ses déclarations devant le tribunal. Répliquant à ces accusations directes, le mis en cause a nié tous les faits, et déclaré que sa fille CH.K, entretenait une relation intime avec un jeune de la capitale, où elle aurait passée une nuit avec lui dans l'un des hôtels de la ville. Et depuis, selon lui, après avoir découvert ce qui s'est passé, elle et sa mère (son épouse), lui ont tendu un piège pour l'accuser d'inceste. Dans son réquisitoire, le représentant du ministère public, n'est pas parti par quatre chemins en indiquant que cet acte est ignoble, un acte qui a fait vibrer les cieux et la terre, un acte inacceptable et inimaginable, et requit 20 ans de prison ferme à l'endroit de l'accusé. Après délibération, le tribunal prononça la dite sanction