Des vêtements féminins étiquetés ''made in Israël'' ont été confisqués par la police algérienne dans un certain nombre de magasins du centre commercial d'Al-Wadi. “Les policiers ont arrêté des commerçants qui vendaient des vêtements féminins étiquetés ''made in Israël''. Ils avertissent qu'il pourrait s'agir d'un réseau international introduisant des vêtements israéliens dans le pays”, a rapporté le journal El-Khabar. Ce qui reste encore pire est que “les revendeurs bénéficient de certains allègements”, a-t-il ajouté. Les agents de police sont arrivés au Mall, après avoir reçu des informations selon lesquelles des vêtements sionistes étaient vendus dans ce centre commercial. Le procureur général d'Alger a alors ordonné la confiscation de tous les biens. Les vendeurs, eux, nient avoir eu connaissance de l'origine des produits. Le grossiste présumé, lui, a été mis aux arrêts. Une source a déclaré au journal: «Nous ne pouvons pas écarter la possibilité qu'un réseau international de contrebande de vêtements israéliens soit dans le pays et que ses agents sont assistés par des fournisseurs algériens.” Cet évènement survient quelques jours après la découverte des crayons de papier sur le marché d'Arabie Saoudite. De fait, il s'agit d'une nouvelle forme de la normalisation économique imposée par l'entité sioniste au monde Arabe.