Les membres de l'assemblée populaire communale de Chlef ne lésinent nullement à solliciter l'intervention personnelle du wali pour mettre fin aux dépassements scandaleux dans l'application du code communal plus particulièrement l'article n° 19 du code 0890 qui stipule les directives que le maire devrait suivre pour rassembler les membres du conseil et le mentionner ensuite sur un registre de délibération Selon des sources fiables d'information,. Selon la même source d'information, les membres opposants du conseil communal auraient proférer des propos acerbes contre ce qu'ils appellent « de dépassements flagrants qui caractérisent le comportement du maire vis-à-vis de ces derniers élus qui sont constitués de différents partis à savoir le RND, le PT, et le FNA. L'un des membres élus du conseil aurait qualifié d'inacceptable l'attitude du maire de ne pas se conformer au respect du règlement communal, qui stipule que les membres doivent être informés par le maire pour toute réunion dans un délai au préalable de 10 jours. La même source d'information ajoute, que les membres élus crient leur colère contre le maire et l'accusent de violation du code de l'APC, en adoptant une attitude léthargique quant à l'envoi de convocation aux élus à leur domicile accompagnée d'un calendrier de travail. Ce genre d'attitude et de comportement indésirable, ces élus le considèrent comme bien réfléchi et prête à équivoque pour des raisons que seul maire en connait le secret. Les élus approuvent aussi leur conviction par dire que le maire lui aurait arrivé de retarder pour une durée de deux mois sans raison apparente, la séance de délibération du 31 mai dernier, ce qui aurait nécessité à pousser les élus à le mettre à l'ordre par lettre officielle. Ce comportement unilatéral du maire d'obédience FLN selon les membres, aurait créé entre eux et le maire un conflit bien réfléchi et rationnel, en dehors de tout intérêt partisan où autre, mais dans l'intérêt de la commune et des ses citoyens, et d'autre part tirer la sonnette d'alarme sur le déficit budgétaire qui frôle la bagatelle des 80 milliards de centimes, que ces élus trouve d'inacceptable que la commune ne fait rien pour surmonter cette pente, et que le maire les aurait complètement marginalisé et éloigné de toute réflexion à cette situation jugée de catastrophique, pour la seule et unique cause, selon ces élus d'avoir contesté sa façon de gérer la commune. Selon la même source, ces élus estiment que seule une intervention du wali peut trouver une solution à cette impasse qui aurait que trop durée, et mettre fin à cette politique de marginalisation qui aide parfois à mettre en péril l'intérêt général.