Une jeune femme de la commune de kheireddine, a vu s'envoler ce souhait d'être mère quand elle a appris que son bébé qu'elle porte ne respire plus dans son ventre. Il est cliniquement mort et pour cause elle a été renvoyée par deux fois de la clinique sous différents prétextes. Accompagnée de son mari et de ses deux frères, la jeune femme Mme Kriem Née Aissa Karima, s'est présentée le 21 juillet 2009 au service des consultations de la maternité pour y subir des examens de grossesse, du fait qu'elle se sentait mal au point avec des contractions répétées. Après l'avoir ausculter, on lui fixa un rendez-vous pour deux jours plus tard, prétextant que son accouchement ne pourrait intervenir avant ces deux jours. Appliquant les consignes données ce jour là, la dame est repartie pour revenir 48 heures plus tard comme convenu. Arrivée avec des douleurs atroces à l'abdomen et au ventre, elle sollicita qu'elle soit mise en observation au niveau de la clinique, malheureusement, un refus lui a été signifié, tout en lui prescrivant d'effectuer un bilan médical à l'extérieur de la clinique, or, qu'ils pouvaient aisément la prendre en charge à leur niveau, vu son état de santé qui nécessitait une urgence avérée. Mais, niet, elle devait repartir pour faire ses examens ailleurs. Le lendemain, de retour à la clinique, la malheureuse jeune femme est prise en charge par le médecin de garde, qui après l'avoir ausculté, il lui lança, que son bébé ne respire plus et qu'il est décédé dans son ventre, avant d'ajouter « Qu'Il fallait décider de ton admission hier, pourquoi ne vous a-t-on pas pris en charge hier ? » (Ce sont là les déclarations de la jeune femme). Oui, hier, car la pauvre femme présentait tous les symptômes d'une femme gravement malade et qu'il fallait lui établir un billet de salle la veille sinon bien avant. En voici le résultat, elle a perdu son bébé.